vendredi 6 novembre 2020

Une très rude leçon

 


La leçon avait été rude. Très rude. Vous n’aviez pas apprécié du tout mon comportement. J’avais joué avec le feu et je m’étais brûlée, sérieusement. J’avais eu envie de jouer avec quelqu’un d’autre. Cela ne vous posez pas de problème. A condition que, vous soyez au courant et vu mes conversations avec la personne choisie, afin de pouvoir juger si oui ou non, je risquais quelque chose.

Seulement, je ne vous avais pas tenu au courant, ni même parlée de mes projets. Maître S me semblait charmant et respectueux, aux vues de nos discussions. A la question, « est-ce que tu appartiens à quelqu’un ? », j’avais répondu non. Ce qui était un demi-mensonge. Officiellement, je n’appartenais à personne. Officieusement, j’étais votre soumise et portais votre collier en permanence.

Ce que je n’avais pas prévu, c’est que Maître S avait fait parti de vos connaissances. Et, il vous avez contacté pour en apprendre plus sur moi. Quand, vous avez appris que c’était pour une rencontre et mon mensonge, votre sang ne fit qu’un tour. Vous lui avez donc expliqué la situation et proposé d’ « assister » à la leçon que vous me prépariez.

Deux jours après nous être mis d’accord avec Maître S, sur la date de notre rencontre, celui-ci annula pour une raison de travail.

Je ne m’inquiétais pas et répondit que ce n’était que partie remise. Le lendemain, vous me donniez un rendez-vous chez vous (pour la même date), pour une leçon d’appartenance. Je devais arriver en chemisier et jupe, mon collier autour du cou. Je restais bouge bée au bout du fil. Cela, c’était une première. Heureusement, il faisait encore frais, personne ne s’étonnerait de me voir avec un foulard autour du cou. Il y avait presque deux semaines jusqu’à ce rendez-vous. Tout se passa normalement jusqu’à cette date.

J’arrivais vers 09h, le jour J. Je fus étonnée de vous trouver, appuyé sur le capot de votre voiture, à ma descente du train. Quand je m’approchais, vous vous redressez et à deux pas de vous, vous m’ordonnez de m’arrêter. Vous fîtes une inspection de tenue. J’avais obéis. Je portais sous ma veste en cuir, un chemisier blanc, une jupe bleue avec des bas noirs et des sandalettes à talons. Pendant ce temps, je retirais le foulard. Votre main remonta le long de ma poitrine puis, elle attrapa l’anneau de mon collier. Vous rapprochez mon visage du vôtre par l’anneau et m’embrassez tendrement. « Je suis content de toi, tu m’as obéis à la lettre. Il valait mieux pour toi » Je m’installais dans la voiture et vous demandez pourquoi. « Parce que sinon, je t’aurais administré une fessée déculottée sur le capot de la voiture ». Je me figeais et ravalais ma salive. Heureusement, que j’avais obéis effectivement.

Une fois à la maison, je vous servais un café et vous demandez la permission d’en prendre un. Pendant une petite demi-heure, je vaquais à mes occupations habituelles. De votre côté, vous travaillez comme d’habitude. Puis, vous me dîtes que si je veux aller aux toilettes, c’est le moment ou jamais. J’obtempère. Quand je reviens, vous êtes assis sur le canapé. Vous me demandez la position 6 et je la pris de suite. Vous m’expliquez que, ma leçon n’allait pas tarder à commencer. Nous attendions juste une personne. Je vous regardais surprise. « Tu as une objection ? » « Non, Maître » « Bien ».

Cinq minutes plus tard, votre téléphone sonna et après avoir raccroché, vous m’annoncez que notre invité venait d’arriver et que, je n’avais pas le droit de bouger, jusqu’à ce que vous m’en donniez la permission. Le stress commença à envahir mes veines. J’étais nerveuse, tendue. Je vous entendis revenir et au timbre de voix, notre invité était un homme. Je ne relevais pas les yeux cependant. Quand, vous prononcez mon prénom, je relevais les yeux et dit « oui, Maî… ». Je ne terminais pas ma phrase, car je me pétrifiais quand, mes yeux croisèrent le visage de notre invité. Maître S était devant moi. C’était un cauchemar. Je sentis votre aura se charger de colère. « Ta réaction parle pour toi. J’aurais préféré que ce soit une erreur… ». Je tournais mon regard vers vous, y lut la colère et la douleur. Mes yeux se chargèrent de larmes. Votre voix tonna « Tu appartiens toujours à personne ? »

Je tremblais de tout mon corps. J’étais incapable de prononcer un mot. J’avais commis une erreur, une très grosse erreur. Votre main s’abattit avec force sur ma joue. Je basculais en avant tout en disant, les larmes coulant toutes seules « S’il vous plaît Maître. Je suis désolée.. » Votre main attrapa mes cheveux et vous dîmes « Tu peux l’être crois-moi !! Et tu n’as pas fini. La leçon ne fait que commencer. Debout ! »

Je me relevais sous l’impulsion de votre main. Vous m’emmenez dans la cuisine et me mis nez au mur, relevez ma jupe en m’ordonnant de la tenir et d’écarter les jambes. Une fois que j’eu obéi, vous baissez ma culotte à mes genoux. Puis, vous me dîtes, qu’il n’y a que moi qui suis punie, donc vous pouviez tous les deux prendre un café en profitant du spectacle.

Pendant cinq minutes, je sentis votre regard brûler mon dos. Je n’avais pas le droit à l’erreur. Mes larmes coulaient toutes seules. Accentuant la douleur de ma joue au passage. Je ne bougeais pas cependant. Je vous sentis vous lever et je me tendis. Je ne souhaitais qu’une chose, que cette punition en finisse. Je sentis votre chaleur à quelques centimètres de moi. Celle-ci, réconfortante d’habitude, n’était à cette heure, que symbole d’inquiétude. Vous me fîtes faire demi-tour et votre main attrapa mon menton et me tourna la tête, de façon à, vous exposer ma joue rougie.

Il me fallut trois secondes pour réagir à l’ordre qui s’en suivit, tellement il me prit au dépourvu. Je devais me rhabiller et prendre la position 6 devant votre chaise. J’obéis sans comprendre le pourquoi. Au bout de quelques secondes, je découvris dans votre main, une poche de glace. Je la pris et la posa sur ma joue douloureuse. « Mer…Merci Maître » Dis-je en gardant les yeux baissés. « Je suis en colère. Mais je ne tiens pas à t’abimer. »

Après quelques minutes, vous m’ordonnez de déposer la poche de glace et de venir me coucher sur vos genoux. J’obéis en tremblant. Une fois en position, je m’attendais à être déculottée, mais votre main heurta mes fesses, me tirant un glapissement de douleur. Le ton était donné. La fessée serait très sévère. Au bout de dix claques, j’avais du mal à garder les jambes au sol. Je luttais contre le réflexe de croiser les jambes. Après trente claques, mes larmes coulaient de nouveau doucement. Vous arrêtez la fessée et proposez à notre invité, de continuer au salon. Vos mains me relâchèrent et je me retrouvais à genoux, à vos pieds. Debout devant moi, vous m’attrapez par l’oreille et m’emmenez dans le salon face à Maître S.

« Retire ta jupe et ton chemisier. Puis, viens reprendre place sur mes genoux ! »

« … »

« Il faut que je vienne chercher une réponse ?! »

« Non, Maître. Pardon »

Je me déshabillais avec des mains tremblantes. Une fois chose faite, je me rapprochais de vos genoux, comme une supplicié vers son buché. La punition reprit aussi durement. Moins de quatre claques plus tard, mes jambes se croisèrent. Une claque aussi puissante que les autres atterrit sur ma cuisse gauche, m’arrachant un cri de douleur et des supplications. Je décroisais les jambes. Après cinq minutes de ce traitement qui transforma mes fesses en un brasier intolérable, vous m’ordonnez de me relever et de mettre les mains derrière la tête, en écartant un peu les jambes.

« Je trouve que cette jeune femme est bien trop habillé. Vous voulez bien vous occupez de la déshabiller totalement ? »

« Cela sera avec grand plaisir »

Je vous sentis passer dans mon dos et votre voix me dit doucement à l’oreille :

« Je t’interdis de te dérober ou de bouger. Si tu me désobéis, ce que tu viens de recevoir sera une partie de plaisir à côté de ce qui t’arrivera. Je suis clair ? »

Je hochais doucement la tête.

« Bien »

Je dus me retenir de reculer quand les mains de Maître S se posèrent sur mon corps. Je n’aurais jamais tolérée cela. Vous étiez le seul à pouvoir me toucher ainsi. Quant il baissa mon soutien-gorge et caressa mes seins, je ravalais le grondement naissant au fond de ma gorge. Il dégrafa ce dernier et ces mains glissèrent lentement vers ma culotte. Il joua avec celle-ci un moment. Quant il se décida à me la retirer, je tremblais de toutes parts. Votre main se logea fermement dans mes cheveux, me faisant sursauter au passage. Vous basculez ma tête vers l’arrière et m’embrassais avec rage, avant de me faire basculer vers l’avant et de me mettre face au mur, le corps penché à 90°. Votre main me fit écarter les jambes en grand. Celle-ci remonta le long de ma cuisse et vint se poser sur mon intimité.

« Votre déshabillage ne l’a pas laissé indifférente apparemment. Cette dévergondée est mouillée »

Je geins, je ne pouvais rien contre cette réaction physique. Je n’avais pris aucun plaisir jusqu’à maintenant et vous le saviez. Un « non » s’échappa de mes lèvres. Quand je sentis votre main sur mon intimité, je savais déjà ce qui allait suivre. Votre doigt entra en moi, ressorti et vint se pauser sur mes lèvres. Et l’ordre tomba « suce ». J’obéis, mes larmes repartant.

« Je suis toujours un menteur ? »

« Non, Maître »

« Combien de lettre dans menteur ? »

« Sept. Maître »

J’avais répondu la mort dans l’âme. Je vous vis partir et revenir avec dans la main, deux cannes, un paddle et la strappe. Vous avez tendu une canne à Maître S et m’ordonnais de compter. Chaque coup de canne étaient suivi d’un hurlement de douleur. Mes jambes me soutenaient à peine. Je n’en pouvais plus. Je fus soulagée quand j’entendis votre voix m’ordonner la position 11. Il me fallut moins d’une seconde pour la prendre. Mais je savais que la leçon n’était pas finie. Des frissons parcoururent tout mon corps à cette idée. Ce fut un bruit juste à côté de moi qui me fit relever la tête. Je découvris un bol d’eau à côté de mes mains. Je levais mes yeux vers vous et votre regard me répondit. Je me redressais et allais boire, comme un chien. Le message avait été clair et je n’allais certainement pas vous désobéir. Je repris la position juste après, attendant la suite de mon supplice.

Après vous être désaltérés, vous me demandez la position 6. J’obéis, me demandant ce que vous me réserviez. Vous m’ordonnez de me relevez et de prendre position sur la table en gardant les jambes serrées. J’obéis mécaniquement. Si je commençais à réfléchir, ce serait la fin. Le premier coup tomba, d’une puissance égale aux autres, mais sur le haut de mes cuisses. Je fus si surprise que aucun son ne sortit de ma bouche, malgré la douleur fulgurante. Je me cramponnais à la table, m’époumoner ne servirait à rien. Mes mains blanchissaient au fur et à mesure des coups. Je n’allais pas pouvoir m’assoir pendant des jours. J’allais supplier d’arrêter cette torture quand vous me dîtes que cette partie de la leçon était terminée. Vous ne me fesseriez plus, si, j’étais d’une obéissance complète. Aucune rébellion, une soumission totale. Si je venais à me louper, la strappe viendrait me remettre les idées en place. Mon sang se glaça dans mes veines. J’accueilli avec soulagement l’ordre d’aller au coin, à genoux.

En général, je déteste le coin. Mais là, je fus heureuse d’y être. J’entendis du mouvement dans mon dos, mais je ne bougeais pas d’un millimètre. AU bout d’un certain temps, vous me demandez de me relever et de vous faire face. Cela devait faire une bonne dizaine de minutes que j’étais au coin, car mes genoux protestèrent. Une fois face à vous, vous avez accroché une laisse à mon collier et pris mes poignets pour y déposer deux bracelets en cuir.

« Tu vas nous apporter deux verres d’apéritif et ensuite, tu prépareras la table pour le repas. »

« Bien, Maître »

J’apportais les deux verres puis prépara la table. Une vraie soumise ne déjeune pas avec son Maître. Je mis donc les couverts pour deux. Une fois l’apéritif fini, je fis le service à table, n’oubliant rien. Une fois ceci fait, je m’éloignais de la table de trois pas et attendit. Vous m’ordonnez la position 6, je la pris et fermais les yeux. Vous m’appelleriez si vous vouliez quelque chose. Un bruit de porcelaine me fit ouvrir les yeux. Devant moi, se trouvait une assiette et un bol d’eau. Je n’avais pas faim, ni soif. Je refermais les yeux. Ce fut votre voix, froide qui me sortit de ma torpeur.

« Je dois vraiment te demander de me ramener la strappe ? »

« Non, s’il vous plaît, Maître »

« Alors mange ! »

J’obéis à contrecœur. Je grognais silencieusement à l’expression « bonne petite ». Une fois le repas fini, je débarrassais la table et servait le café. Attrapant ma laisse, vous me conduisait au salon. Vous présentez devant ma bouche, ma queue de chienne. « Un conseil, applique-toi », je la lubrifié donc avec application. Nous n’aurions pas été en punition, ni avec du monde, je me serais amusée à ne pas vous la rendre si facilement. Mais, cela n’avait rien d’un jeu. J’ouvris donc la bouche quand vous me le demandiez.

« Bonne fille. Maintenant, offres-moi ton cul, comme la bonne chienne que tu es ! »

Je restais statufiée. Pendant une seconde, je ne bougeais pas. Une leçon d’appartenance, aviez-vous dit. Votre regard me disait que vous saviez ce que je pensais et que vous me demandiez beaucoup. Je me retournais doucement et vous offris mes fesses. Je n’oubliais pas la présence de Maître S, qui ne ratait rien du spectacle. J’étais rouge de honte. Vous mit en place ma queue et rajouter « le paysage est agréable à regarder. Ouvre les jambes !»

J’obéis, offrant ainsi un point de vue sur mon intimité, imprenable. Mes larmes reprirent sans prévenir. Au bout de cinq minutes, je fus autorisée à me relever et à m’allonger sur la table, sur le dos.

« Cette petite chienne est une gourmande. Vu que vous deviez jouer avec elle, faites vous donc plaisir, elle va être sage et se tenir tranquille. Parce que JE le VEUX »

Je me pétrifiais sur place. Pendant que vous parliez, vous aviez attaché mes mains ensemble. Je sentis les mains de Maître S me parcourir, appréciateur. Ses mains trouvèrent mes seins et je dus faire appel à toute ma volonté pour ne pas m’interposer. Ce fut encore plus dur, quand ses lèvres remplacèrent ses mains. Quand ses mains s’approchèrent de mon intimité, c’était trop. Jamais, je ne lui autorisé cela. Je resserrais les jambes et mes mains prirent le chemin pour arrêter les siennes. Ce fut les vôtres qu’elles trouvèrent. Quant votre bras passa devant ma bouche, je le mordis. J’avais mis l’Alpha au commande. Votre réaction fut immédiate. Une gifle tomba et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais en position diaper et la strappe heurta mes fesses violemment. Cinq coups suffirent à me faire rentre les armes totalement.

Je m’offris à Maître S sans protester. Cependant, il ne fit que me caresser, sans me pénétrer. Après un moment, je dus descendre de la table et me retrouvais à quatre pattes. Pendant que Maître S commenté son « expérience » de moi, je vous servais de repose pieds. Je n’avais plus la volonté de m’opposer à vous. Quant, je reçu l’ordre de me positionner à quatre pattes sur la table basse, j’obéis. Je sentis votre main soulever ma queue et caresser mon intimité. Un gémissement m’échappa.

Je vous sentis sortir de la pièce avec Maître S. Quelques minutes plus tard, vous rentriez à nouveau dans la pièce. Je ressentis votre chaleur dans mon dos, puis, vous étiez en moi. Vos va et viens était puissant, presque sans douceur. Malgré cela, mon corps réagit, les papillons commencèrent à décoller. Votre main passa dans mes cheveux, forçant ma cambrure. « Tu es à MOI, MA chose, MA soumise ». Vos coups de reins se firent plus puissants encore. Vous vous retirez de moi et présentez votre queue à ma bouche, je m’exécutais. « Applique-toi, je tiens à te rappeler que tu m’appartiens totalement ! ». Le message était clair. Vous vouliez terminer la leçon par une sodomie. Une fois, que vous fusse dur dans ma bouche, vous vous retiriez de moi et m’ordonnez de m’offrir totalement à vous. Je posais mon buste sur la table basse et m’offrit totalement à vous. Je vous suppliez de le faire. Vous en délicatesse, me pénétrant avec douceur.

Une fois entièrement en moi, vous me demandiez « À qui appartiens-tu ? » « A vous, Maître », « Parfaitement, ne l’oublie plus jamais ». Vous avez commencé un doux va et viens. Vous avez pris votre plaisir, sans chercher le mien. Mais, je méritais cela. Je m’offris le plus possible à vous, cherchant à vous facilitez la tache. Au bout de quelques minutes, vous éjaculiez sur mon dos.

Vous m’envoyiez prendre une douche. Je la pris doucement, changeant la température de l’eau afin de l’adapter à ma peau douloureuse. Je m’examinais dans la glace. Les marques sur mes cuisses prendraient un long moment avant de disparaître. J’aurais mal aux fesses pendant une bonne semaine. Cependant, j’avais mérité cette leçon. Je ne savais pas si, j’avais la permission de me rhabiller. Je me présentais donc au salon, avec pour seul habit, mon collier.

Vous étiez assis sur le canapé, fumant une cigarette. Mes larmes coulèrent doucement et je me jetais à vos pieds.

« Je suis désolée Maître. Tellement désolée. Je ne recommencerai plus jamais. Je vous en prie, accordez-moi votre pardon. S’il vous plaît »

Je ne sentis aucun mouvement de votre part. Après un moment assez long, je compris.

« Je comprends Maître. Je suis navrée »

Je m’éloignais de vos pieds. Le cœur en morceaux, les yeux embués de larmes, je dirigeais mes mains vers l’ouverture de mon collier, afin de vous le rendre. Votre main arrêta les miennes.

« Non ! »

« Mais ?! »

« Ce n’est pas ce que je souhaite. Mais plus jamais tu m’entends ! PLUS JAMAIS »

Je hochais la tête. Votre main me dirigea vers vos lèvres, pour un baiser tout en douceur. Il n’avait rien avoir avec celui de la leçon. Il avait la saveur du pardon et des retrouvailles. Vous m’entrainiez vers votre chambre, pour un moment de retrouvaille et de douceur.

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