samedi 1 février 2014

Une fièvre acheteuse? peut-être bien... ou pas! :D (1ère partie)

Bonsoir à tous!!!

Voici un récit à deux voix, écrit juste pour le plaisir et qui sait, le mettre peut-être un jour en pratique...

Bonne lecture!



  Le bureau avait été refait à neuf. Le mobilier, récemment installé, donnait un style 
néo-urbain à la pièce, contrastant outrageusement avec les murs en pierre brutes du 
17ème siècle. 
 
Ce mur, c'est justement ce que je regardais, et plus précisément la pendule qui y était 
accrochée. 15h24. Aphy était encore une fois en retard...
 
Aphy, c'était cette jeune femme dont j'étais le tuteur depuis bientôt 3 mois. Dépensière 
invétérée, ses problèmes d'argent lui avait valu d'être mise sous tutelle en début d'année. 
Trois réunions, trois retards, trois échanges infructueux.
 
J'avais rendez-vous avec Lanvin ce jour-là. Et comme d'habitude, j'étais en retard. Pourtant, je déteste être en retard, mais la SNCF refusait de me donner un coup de main à être à 
l'heure...
  Cela faisait trois mois qu'on s'était rencontrés. Nous avions convenus que, j'avais besoin 
d'aide pour gérer mon argent. De mon point de vue, je ne m'en sortais pas trop mal. 
Le sien était tout à l'inverse... Avec près de 30 minutes de retard, je sonnais enfin à sa porte.
   
Mais cette fois, j'avais une toute nouvelle idée, et tandis qu'Aphy sonnait enfin à ma porte, 
je comptais bien la mettre en pratique.
 
- Entrez Aphy ! 
 
La porte s'ouvrit sur la jeune femme. 
 
- Bonjour Monsieur Lanvin. Désolée pour le retard. Un souci avec le train...
 
Elle déboutonna son long manteau d'hiver, l'enleva prestement et l'accrocha finalement au 
porte manteau de l’entrée. Dans sa petite robe noire et ses bottines en velours, elle était 
magnifique ! Elle s’avança vers mon bureau.
 
- Ce n'est rien. Asseyez-vous donc ! Lui dis-je.
 
Tandis qu’elle s’exécuta, je pris une mine des plus sombres.
    
J’entrai, une fois que j’eus la permission de le faire. Je retirai ma veste et cherchai un endroit où le poser. Le porte-manteau, cela peut être bien. Une fois que j’eus présenté mes excuses, 
je m’assis. Cependant, vu la tête de mon tuteur, les nouvelles n’étaient pas bonnes. 
 
- Aphy, vous me posez problème... J’ai reçu vos derniers relevés bancaires, et encore une 
fois, ils ne sont pas bons ! Nous avions un accord : vous disposez d’une petite liberté avec 
votre argent, mais en contre-partie, vous deviez faire des efforts. Vous pensez avoir tenu 
votre engagement Aphy ?
 
- Euuuh... oui, je pense...
 
- NON ! Absolument pas ! C’est encore pire que le mois précédent ! Je vois encore beaucoup de dépenses inutiles, et non des moindres ! 
 
Tandis que je me levai de mon siège et contournai mon bureau, je les énumérai une à une : 
 
- 126 € chez Amazon ! 86 € chez Darjelling ! 58 € à Sephora !.. J’en compte plus d’une 
douzaine de la sorte ! Et les jeux d’argent, mon Dieu !!! Vous n’avez toujours pas décroché !?
 
J’écoutais les dépenses que j’avais faites. D’abord, tout n’était peut-être pas utile, mais 
quand même, pas une raison pour m’en faire un scandale. Je n’étais même pas dans le rouge  en plus ! Pour les jeux d’argent, ce ne sont que des jeux de grattage pas de quoi en devenir 
dépendant…. Et pour le reste, je suis une fille après tout… Mais désolée, je ferai plus 
attention !
  
- Non, pardon... répondit elle la tête baissée.
 
- C’est ce que vous me répétez à chaque séance ! Souhaitez-vous seulement vous en sortir 
Aphy ?
  
-Évidemment que je souhaite m’en sortir !!!! Qu’est-ce que vous pensez ?! Et puis, je ne suis pas dans le rouge. Seulement, quand je veux quelque chose, je ne me pose pas de questions,
je l’achète…
 
 Debout derrière elle, je posai alors une main sur son épaule.
 
- Je vois... un confrère m’a conseillé une autre forme de “thérapie” pour vous. 
Voudriez-vous l’essayer ?
 
- Oui, je veux bien l’essayer, enfin si j’ai un peu plus de détails. (Ce n’est pas à un vieux singe  qu’on apprend à faire des grimaces ;-))
  
- Bien ! Alors prenez la feuille devant vous, lisez la attentivement, et signez en bas !
 
Je pris donc la feuille et commençai ma lecture. Et bien, c’est une thérapie bien étrange. 
Enfin, « thérapie », reprise d’éducation serait plus juste. Et plus je lisais, plus je trouvais 
cette idée totalement folle.
 
 Je n’ai plus quinze ans. Je n’ai pas besoin que mon éducation soit corrigée, ce n’est pas une 
question d’éducation mais de gestion. Et puis, une éducation anglaise ?!
 
- Mais, qu’est-ce que cela !? Je ne comprends pas !? Une éducation Anglaise ?
 
- Oui ! Plus précisément, vous vous engagez à accepter toutes les punitions corporelles que 
je jugerai bon pour vous !
  
- Je ne peux pas signer cette feuille !!

- Ce n’est rien d’autre qu’une thérapie à base de fessées. Vous avez déjà reçu la fessée 
Aphy ?
  
- Cela m'est arrivé oui, mais je n’avais pas plus de 10 ans…

- Cela est aussi efficace pour les jeunes femmes, je puis vous l’assurer !
   
- Monsieur, je veux bien vous croire, seulement je ne pense pas que ce soit pour moi, ni une 
bonne idée….Navrée
 
Je contournai à nouveau mon bureau pour me rasseoir finalement dans mon fauteuil.
 
- Dans ce cas, c’est moi qui suis désolé Aphy, car je vais devoir signer une autre feuille...
 
Une autre feuille ? Mais de quoi parle-t-il ? Bizarrement, je sens que je ne vais pas aimer… 
Qu’est-ce donc comme feuille ?
 
- Qu’est ce que c’est ? demanda-t-elle soudain inquiète.
 
- Mon compte-rendu vous concernant. Il y est écrit que vous êtes trop malade pour être 
gérée par un tuteur seul et qu’il faut donc que vous soyez amenée dans un centre
psychiatrique pour un traitement de choc de quelques mois...
 
Je savais que ça n’allait pas me plaire. Non mais franchement, on n’a pas idée, mon état 
n’est pas si désespéré.

- Je ne comprends pas pourquoi ? Je ne suis pas si terrible… Ne signez pas, voyons !
 
Je me saisis de mon stylo et m’apprêtai à signer quand elle m’arrêta soudain :
 
- Non, je vous en prie, ne signez pas ! 
 
Je relevai lentement la tête, et lui tendis mon stylo.
 
- Dans ce cas, signez votre feuille !
  
Franchement, dans quoi je vais encore m’embarquer ! Mais je n’ai pas vraiment le choix. 
Je reprends cette maudite feuille que je relis rapidement. Je lui prends le stylo des mains et
je signe à contrecœur. 
 
- C’est bien Aphy ! Vous avez fait le bon choix ! Souvenez-vous, c’est pour vous que vous le 
faites !
 
Pour mon bien, je ne suis pas vraiment convaincue, mais je n’ai plus le choix.
 
- Oui ( doucement) Si vous le dîtes, je vais vous croire…
 
- Oui qui ?
 
- Oui Monsieur Lanvin !
 
- Bien ! Nous allons commencer tout de suite ! Levez-vous !
 
Elle se leva, et je fis de même. Je disposai rapidement un fauteuil au milieu de la pièce et 
m’assis confortablement. Je l’invitai alors à s’approcher.
  
Je m’exécutai, maintenant, je lui avais donné tous les droits, autant montrer patte blanche 
pour l’instant.
 
- Aphy, la 1ère étape consiste à reconnaître ses fautes. Je vous écoute !
 
Debout, face à moi, elle énuméra toutes les fautes dont elle s’était rendue coupable ce 
mois-ci.
  
J’énumérai donc mes « fautes » sans grande conviction
  
- Bien Aphy ! On avance ! Maintenant, la 2ème étape consiste à admettre que vous méritez 
une punition et me la réclamer ! Je vous écoute.
  
C’est sadique comme demande et humiliant… Je me demande bien ce qu'il se passerait si je 
refusais d’obtempérer. Mais, je ne vais pas jouer.
 
- Je... je mérite d’être punie pour mes fautes... Je vous demande de me corriger...
 
- Comment ?
 
- Par... par une fessée... bredouilla-t-elle, la tête baissée.
 
- Exactement ! Enlevez vos bottes et vos chaussettes, puis venez vous allonger en travers 
de mes genoux. 
 
Je me fis obéissante et pris position comme il me l’avait demandé.

Étonnamment, elle s’exécuta sans se faire prier. La main droite caressant ses fesses, je la 
sermonnai alors sur son manque de volonté, puis la fessée commença. 

Tantôt douces, tantôt fermes, les claques s’enchaînaient jusqu'au moment où je relevai 
doucement sa robe, dévoilant alors une magnifique petite culotte blanche.La fessée reprit 
alors de plus belle. Après 5 minutes de ce traitement, Aphy commença à s'agiter.

Malgré le fait que je voulais rester stoïque, montrer que je ne sentais rien, je finis par
commencer à m’agiter un peu.

- Allons, allons ! Restez tranquille Aphy ! Ce n'est que le début !
 
La fessée reprit de nouveau, pendant quelques minutes, avant de s’arrêter.
Je tirai doucement la culotte vers le haut pour dévoiler un peu plus ses fesses qui 
commençaient à rosir sous les claques. Après quelques minutes, je m’arrêtai à nouveau.
 
- Aphy, quand vous étiez petite, comment vous était donnée la fessée ?
 
- Je ne sais pas, vous allez sûrement me le dire…
 
- Je vous écoute Aphy !
  
- Déculottée ronchonnais-je
  
- Comment ? Je n'entends rien ! Plus fort ! Dis-je en claquant fortement ses fesses.
  
- Déculottée !! Criai-je
 
- Oui, une bonne fessée se donne toujours les fesses à l’air, culotte baissée !
 
Délicatement, je descendis alors sa culotte jusqu'aux chevilles... 
   
Je sentis ma culotte atteindre mes chevilles. Je ne pus m’empêcher de mettre ma main en 
protection. Après tout, je n’étais pas une enfant sans défense.

- Vous n’avez pas le droit de faire ça !!!
 
- Si ! Vous avez signé, j’ai tous les droits ! Tenez-vous tranquille !
 
Je me saisis de son bras pour le coincer dans son dos. La fessée reprit pendant 5 bonnes 
minutes. Aphy s’agitait de plus en plus. A la fin, ses fesses étaient rouges et brûlantes, ce qui ne manqua pas de la faire larmoyer. Là seulement, j'arrêtai la punition.
  
Je me retrouvais avec le bras coincé dans le dos. Non, mais brillante idée Aphy ! Si je 
t’assure, Andouille va ! Plus les minutes passaient et plus mes fesses me brûlaient, et mes 
larmes étaient à la porte. La punition s’arrêta…
  
- Avez-vous compris la leçon Aphy ?
  
Non, vous croyez ? Évidemment que j’ai compris, mais je ne vais pas vous le dire ainsi.

- J’ai compris, arrêtez s’il vous plaît.
 
Je lui caressai tendrement les fesses tout en la sermonnant à nouveau.
 
- Bien ! Levez-vous et allez au coin ! 
  
Elle se releva en massant ses fesses meurtries et doucement alla au coin, quelque peu gênée par sa culotte aux chevilles.
 
Je me relevai et massai mes pauvres fesses martyrisées. Seulement, je refusai d'aller au coin.

- Non, pas le coin, je vous en prie.
  
- Vous resterez là quelques minutes, le temps de réfléchir à vos fautes ! Non, non, bloquez 
votre robe avec vos mains. Je veux voir votre postérieur.
 
Finalement, je n’ai pas trop le choix. Je vais donc au coin avec un peu de mal.
Après 5 minutes, je m'approchai doucement de Aphy. Mes mains caressant ses fesses pour 
juger du travail accompli.
 
- Bien ! Elles commencent déjà à devenir moins rouges. Nous allons pouvoir continuer...
 
A suivre...