jeudi 26 juin 2014

La fin du Voyage

Bonsoir à tous

Suite au décès soudain de MainLeste, ce blog en deuil.
Ne pouvant et ne voulant pas continuer ce blog sans lui, cet article sera le dernier et pour lui.


Où que tu sois maintenant, j'espère que tu es bien et que tu repose en paix. Pour ma part, je ne t'oublierai jamais, tu sera toujours dans mon coeur!






lundi 16 juin 2014

Un lointain souvenir


Bonsoir à tous!
Cela faisait un moment (d'accord très long moment) que je n'étais pas venue. Pour me faire pardonner, voici un petit récit plein de douceur. Ce récit un souvenir, ce fut la seule fois où, la fessée fit partie de notre vie. Bonne lecture!


   Je rentrais du travail, ce matin là. Enfin, fin de matinée, il était passé onze heures. A l’époque, je travaillais en horaire décalé. Je travaillais 24h d’affilée et j’avais deux jours de repos après. La nuit était divisée en deux parties, de 20h à 02h et de 02h à 08h. Ce jour-là, j’étais réveillée depuis une heure du matin et un peu dans le jazz. Je suis rentrée à l’appartement et j’ai trouvé mon chéri à la cuisine. Ce genre de chose n’arrivait pas souvent, dieu sait qu’il n’était pas mauvais, quand il se donnait la peine.

M : Bonjour ! Tu vas bien ?
L : Bonjour ! (légèrement contrarié) Mieux maintenant que tu es rentrée et toi ?
M : Fatiguée, mais ça va. Pourquoi mieux ?
L (un chouïa grondeur): Tu as vu l’heure ? Tu quittes bien le travail à 09h15, non ?
M : Oui, mais je travaille avec Marine en ce moment, tu es au courant pourtant.
L : Cela n’empêche pas de me prévenir, cela m’arrive d’oublier !
M (contrariée) : J’ai besoin d’une bonne douche.

Je me dirigeais vers la salle de bain, tout en réfléchissant. Mais pourquoi cette soudaine prise de tête ? Ce n’était pas son genre de s’inquiéter comme ça. Tout en pensant, j’étais arrivée sous la douche, qui diffusait une eau merveilleusement chaude. J’oubliai tout ça le temps de ma douche. J’en ressortis plus calme, mais surtout plus endormie. J’avais le choix entre finir étalée comme une limace sur un lit ultra-confortable ou aller manger le repas préparé par mon chéri. Grand dilemme me direz-vous. Pour moi, pas vraiment. Quand on travaille de manière décalée, c’est tout le rythme de vie qui l’est, donc pour moi, déjeuner ou pas, cela ne changeait pas grand-chose.
   J’ai donc fini, allongée sur notre lit, en débardeur et shorty. Au bout d’une dizaine de minutes, j’étais sur le point de m’endormir quand j’entendis sa voix me demander si c’était le cas. Avait-il la moindre idée de l’effet qu’avait sa voix ? J’en doute sincèrement. Je ne répondis pas. Je sentis un mouvement à ma gauche et le lit se plier sous son poids. Sa main vint voyager sur mon dos, comme une douce caresse. Je ne sais pas, comment vous faire ressentir ce moment-là, comme je l’ai moi-même vécu. Il parlait, doucement, sa voix encore plus douce que d’habitude. Il savait que je dormirais bien, mais il ne fallait pas, sinon comment garder un rythme de vie à peu près normal ?

  Seulement, s’il comptait me convaincre ainsi, il n’avait pas gagné. Ses gestes étaient si doux, qu’il m’entraînait inexorablement vers le sommeil. Cela ne dura pas, il avait beau m’adorer et me passer quasiment tous mes caprices, ce genre de chose, non.
  Je fus néanmoins, très surprise voir choquée, de sentir sa main, heurter sèchement mes fesses.
Cela par contre, c’était nouveau. Jamais, il n’avait agi ainsi, rien dans son comportement, ou dans ses paroles, n’aurait pu laisser prévoir ce genre de chose.
 Sa main, continua à s’abattre sur mes fesses pendant cinq minutes. Ses claques n’étaient pas fortes.    Elles n’avaient pas pour but réel de me faire mal, mais plus de me faire comprendre son désaccord.
Ses claques, finirent par redevenir caresses, volant tout au long de mon dos. Il se pencha vers moi, suffisamment pour que je sente son souffle frôler mon oreille.

L (ses mains redescendant et se reposant sur mes fesses) : Dois-je continuer ? Ou cela est-il suffisant pour vous mademoiselle ?

   Son ton était doux, en rien une menace. Cependant, il était sérieux. Si je vous réponds que j’ai hésité à lui répondre, me croirez-vous ? Je venais de découvrir le monde de la fessée (cela ne faisait pas longtemps, que j’avais reçu ma première d’adulte), mais voulais-je vraiment de cela avec lui ? Je n’eus pas à réfléchir longtemps, la réponse m’était évidente. Cela n’avait jamais été un manque à notre couple, donc non, je ne voulais pas. Sa main vint heurter une nouvelle fois mes fesses, plus fortement que les précédentes.

L (sa main jouant, avec l’élastique de mon shorty) : Ton silence veut-il dire que je dois continuer ? Mais si je continue, ça va faire plus mal, tu es prévenue ma puce.

   Je me suis redressée et retournée vers lui. J’ai croisé son regard et j’y ai lu tout l’amour qu’il me portait. Je me suis penchée et l’ai embrassé. Je me suis mise dans ses bras et je les ai senti se refermer.

M (tout doucement) : Non, je ne veux pas que tu continues. J’ai compris, on va aller manger.
L (à mon oreille) : C’est dommage, cela aurait pu devenir intéressant je pense !

   Je sentis le sourire dans sa voix. J’éclatai de rire, cachai mon visage dans son cou et laissai échapper un « peut-être » à peine aussi audible qu’un bruissement d’aile de papillon. Il se releva et m’entraîna dans son mouvement. Il posa sa main dans mon dos, sous mon débardeur. Je sentis de la chaleur s’en dégager. Je ne pus m’empêcher de sourire.

L (m’entraînant vers la cuisine) : J’espère que le repas est encore chaud.
M (un sourire dans la voix) : Si le repas est aussi chaud que ta main, ça devrait être mangeable.

Il s’arrêta, me tourna vers lui, se pencha vers moi et me dit

L : Ma chérie, ce n’est pas ma main qui est chaude, mais tes fesses.

Je ne pus m’empêcher d’éclater de rire et de me poser dans ses bras.
Et le repas était délicieux et chaud finalement.
Voilà, j'espère que ce texte vous aura plu. Des bisous à tous

mercredi 26 mars 2014


  Nous  sommes au salon, toi sur ton ordinateur, moi, dans un livre....
tu t'approches de moi avec cet air coquin qui me fait sourire....
tu dis "j'ai une grande envie de te rougir les fesses"...

je réponds " mais pourquoi? je suis toute sage, comme toujours"....
"juste pour le plaisir de les voir rougir" réponds tu... 
"voir bouger tes fesses sous mes claques, t'entendre gémir"...
 
oui, mais je lis un roman très captivant dis je....
tant pis dis tu, tu continueras demain.....
 
je te vois t'installer dans ton fauteuil préféré et t'entends dire
"viens ici, mets toi à genoux devant moi,"
je viens rendue toute docile par ta voix, regard baissé...
 
tu me demandes de relever la tête, de te regarder dans les yeux....et tu ordonnes d'une voix sévère...
" j'ai envie de te punir, juste pour le plaisir, alors, tu vas te déshabiller et m'offrir tes belles fesses, allez "
 
je me relève, enlève ma jupe, te regarde d'un air rougissant....
j'ai toujours du mal à devoir me mettre nue devant un punisseur...
 mais tu dis  " vite, je te veux nue"...
 
je me sens devenir fragile, toute petite, toute soumise... ça me trouble et m'agace...
je me sens offerte, docile, tout le contraire de ce que je suis dans l'ordinaire....
 
Mais, tu ne te laisses pas impressionner, bien au contraire, mes troubles doivent te rendre encore plus sur de toi....tu me prends la main, me couches sur tes genoux ; tes mains impatientes caressent  mes fesses ,comme si tu voulais m'exciter afin  que la douleur me paraisse moins pénible....
 
puis tu commences à claquer doucement, sentant mes fesses tout offertes, abandonnées à tes mains lestes...
 
   Les claques tombent; chauffent, brûlent; parfois tu stoppes pour vérifier la température de ma peau, alors que je gémis, que je gigote, que mes jambes battent l'air sans effet....
 
   Alors, je me laisse prendre par le feu, j'abdique toute envie de me soustraire, toute pudeur ,toute  envie de crier "non  non  non" ; je me laisse aller au plaisir d'une soumission par la fessée divinement appliquée....
 
   Quand tu me sens sans réaction ,tu  ralentis le rythme des claques, tes mains redeviennent caresses, une douceur m'envahit
tu dis " le rouge leur va bien"...., je n'ose me relever tant je sens mon visage aussi rouge que mes fesses doivent l'être...
 
j'ai toujours une gène à me relever après une bonne fessée.... comme si revenir à la réalité me rendait honteuse du plaisir....
  
     Tu  m'aides à me relever et en souriant toujours tu dis "j'ai encore envie, mets tes mains sur les accoudoirs du fauteuil, jambes ouvertes et tendues , ferme les yeux...
 
   Je n'ai plus du tout l'idée même de dire "non" ; je prends la pose et attends, tendant l'oreille....
 
j'entends comme un froissement; suis à l'écoute du moindre de tes gestes ; quelque chose glisse près de moi; je sens comme une lanière parcourir mon dos.... je devine ta ceinture..... des frémissements parcourent mon corps...... j'ai peur et envie de tes désirs.... ça semble plein de promesses de douleurs et de plaisirs....
 
  Malgré moi, je tends mes fesses, creuse le dos..... m'offre...
 
tu chuchotes  "je vais te donner 20 coups de ceinture, tu n'as pas le droit, ni de bouger ni de gémir ou j'en rajoute 10"...
 
je dis dans un murmure " salaud non"....chut.... dis tu sinon..... (ouf ! Il n'a pas entendu)
 
je ne dis plus rien, je me sens toute à toi, docile dans l'attente de ta possession par la lanière de cuir...
 
tu m'assènes 20 coups sans fléchir ; je n'ai pas bougé, pas crié, je suis fière de moi.... j'ai senti chaque impact, chaque brûlure ; aucune douleur ne semble m'atteindre; je suis dans le plaisir de subir ; près  de l'orgasme mental et physique...
 
tu jettes la ceinture, me prends dans tes bras, j'ai envie de laisser mes larmes couler ne sachant pas si c'est de douleur, de plaisir, de bien être.....
 
   J'aime être à toi le temps du jeu....

samedi 1 février 2014

Une fièvre acheteuse? peut-être bien... ou pas! :D (1ère partie)

Bonsoir à tous!!!

Voici un récit à deux voix, écrit juste pour le plaisir et qui sait, le mettre peut-être un jour en pratique...

Bonne lecture!



  Le bureau avait été refait à neuf. Le mobilier, récemment installé, donnait un style 
néo-urbain à la pièce, contrastant outrageusement avec les murs en pierre brutes du 
17ème siècle. 
 
Ce mur, c'est justement ce que je regardais, et plus précisément la pendule qui y était 
accrochée. 15h24. Aphy était encore une fois en retard...
 
Aphy, c'était cette jeune femme dont j'étais le tuteur depuis bientôt 3 mois. Dépensière 
invétérée, ses problèmes d'argent lui avait valu d'être mise sous tutelle en début d'année. 
Trois réunions, trois retards, trois échanges infructueux.
 
J'avais rendez-vous avec Lanvin ce jour-là. Et comme d'habitude, j'étais en retard. Pourtant, je déteste être en retard, mais la SNCF refusait de me donner un coup de main à être à 
l'heure...
  Cela faisait trois mois qu'on s'était rencontrés. Nous avions convenus que, j'avais besoin 
d'aide pour gérer mon argent. De mon point de vue, je ne m'en sortais pas trop mal. 
Le sien était tout à l'inverse... Avec près de 30 minutes de retard, je sonnais enfin à sa porte.
   
Mais cette fois, j'avais une toute nouvelle idée, et tandis qu'Aphy sonnait enfin à ma porte, 
je comptais bien la mettre en pratique.
 
- Entrez Aphy ! 
 
La porte s'ouvrit sur la jeune femme. 
 
- Bonjour Monsieur Lanvin. Désolée pour le retard. Un souci avec le train...
 
Elle déboutonna son long manteau d'hiver, l'enleva prestement et l'accrocha finalement au 
porte manteau de l’entrée. Dans sa petite robe noire et ses bottines en velours, elle était 
magnifique ! Elle s’avança vers mon bureau.
 
- Ce n'est rien. Asseyez-vous donc ! Lui dis-je.
 
Tandis qu’elle s’exécuta, je pris une mine des plus sombres.
    
J’entrai, une fois que j’eus la permission de le faire. Je retirai ma veste et cherchai un endroit où le poser. Le porte-manteau, cela peut être bien. Une fois que j’eus présenté mes excuses, 
je m’assis. Cependant, vu la tête de mon tuteur, les nouvelles n’étaient pas bonnes. 
 
- Aphy, vous me posez problème... J’ai reçu vos derniers relevés bancaires, et encore une 
fois, ils ne sont pas bons ! Nous avions un accord : vous disposez d’une petite liberté avec 
votre argent, mais en contre-partie, vous deviez faire des efforts. Vous pensez avoir tenu 
votre engagement Aphy ?
 
- Euuuh... oui, je pense...
 
- NON ! Absolument pas ! C’est encore pire que le mois précédent ! Je vois encore beaucoup de dépenses inutiles, et non des moindres ! 
 
Tandis que je me levai de mon siège et contournai mon bureau, je les énumérai une à une : 
 
- 126 € chez Amazon ! 86 € chez Darjelling ! 58 € à Sephora !.. J’en compte plus d’une 
douzaine de la sorte ! Et les jeux d’argent, mon Dieu !!! Vous n’avez toujours pas décroché !?
 
J’écoutais les dépenses que j’avais faites. D’abord, tout n’était peut-être pas utile, mais 
quand même, pas une raison pour m’en faire un scandale. Je n’étais même pas dans le rouge  en plus ! Pour les jeux d’argent, ce ne sont que des jeux de grattage pas de quoi en devenir 
dépendant…. Et pour le reste, je suis une fille après tout… Mais désolée, je ferai plus 
attention !
  
- Non, pardon... répondit elle la tête baissée.
 
- C’est ce que vous me répétez à chaque séance ! Souhaitez-vous seulement vous en sortir 
Aphy ?
  
-Évidemment que je souhaite m’en sortir !!!! Qu’est-ce que vous pensez ?! Et puis, je ne suis pas dans le rouge. Seulement, quand je veux quelque chose, je ne me pose pas de questions,
je l’achète…
 
 Debout derrière elle, je posai alors une main sur son épaule.
 
- Je vois... un confrère m’a conseillé une autre forme de “thérapie” pour vous. 
Voudriez-vous l’essayer ?
 
- Oui, je veux bien l’essayer, enfin si j’ai un peu plus de détails. (Ce n’est pas à un vieux singe  qu’on apprend à faire des grimaces ;-))
  
- Bien ! Alors prenez la feuille devant vous, lisez la attentivement, et signez en bas !
 
Je pris donc la feuille et commençai ma lecture. Et bien, c’est une thérapie bien étrange. 
Enfin, « thérapie », reprise d’éducation serait plus juste. Et plus je lisais, plus je trouvais 
cette idée totalement folle.
 
 Je n’ai plus quinze ans. Je n’ai pas besoin que mon éducation soit corrigée, ce n’est pas une 
question d’éducation mais de gestion. Et puis, une éducation anglaise ?!
 
- Mais, qu’est-ce que cela !? Je ne comprends pas !? Une éducation Anglaise ?
 
- Oui ! Plus précisément, vous vous engagez à accepter toutes les punitions corporelles que 
je jugerai bon pour vous !
  
- Je ne peux pas signer cette feuille !!

- Ce n’est rien d’autre qu’une thérapie à base de fessées. Vous avez déjà reçu la fessée 
Aphy ?
  
- Cela m'est arrivé oui, mais je n’avais pas plus de 10 ans…

- Cela est aussi efficace pour les jeunes femmes, je puis vous l’assurer !
   
- Monsieur, je veux bien vous croire, seulement je ne pense pas que ce soit pour moi, ni une 
bonne idée….Navrée
 
Je contournai à nouveau mon bureau pour me rasseoir finalement dans mon fauteuil.
 
- Dans ce cas, c’est moi qui suis désolé Aphy, car je vais devoir signer une autre feuille...
 
Une autre feuille ? Mais de quoi parle-t-il ? Bizarrement, je sens que je ne vais pas aimer… 
Qu’est-ce donc comme feuille ?
 
- Qu’est ce que c’est ? demanda-t-elle soudain inquiète.
 
- Mon compte-rendu vous concernant. Il y est écrit que vous êtes trop malade pour être 
gérée par un tuteur seul et qu’il faut donc que vous soyez amenée dans un centre
psychiatrique pour un traitement de choc de quelques mois...
 
Je savais que ça n’allait pas me plaire. Non mais franchement, on n’a pas idée, mon état 
n’est pas si désespéré.

- Je ne comprends pas pourquoi ? Je ne suis pas si terrible… Ne signez pas, voyons !
 
Je me saisis de mon stylo et m’apprêtai à signer quand elle m’arrêta soudain :
 
- Non, je vous en prie, ne signez pas ! 
 
Je relevai lentement la tête, et lui tendis mon stylo.
 
- Dans ce cas, signez votre feuille !
  
Franchement, dans quoi je vais encore m’embarquer ! Mais je n’ai pas vraiment le choix. 
Je reprends cette maudite feuille que je relis rapidement. Je lui prends le stylo des mains et
je signe à contrecœur. 
 
- C’est bien Aphy ! Vous avez fait le bon choix ! Souvenez-vous, c’est pour vous que vous le 
faites !
 
Pour mon bien, je ne suis pas vraiment convaincue, mais je n’ai plus le choix.
 
- Oui ( doucement) Si vous le dîtes, je vais vous croire…
 
- Oui qui ?
 
- Oui Monsieur Lanvin !
 
- Bien ! Nous allons commencer tout de suite ! Levez-vous !
 
Elle se leva, et je fis de même. Je disposai rapidement un fauteuil au milieu de la pièce et 
m’assis confortablement. Je l’invitai alors à s’approcher.
  
Je m’exécutai, maintenant, je lui avais donné tous les droits, autant montrer patte blanche 
pour l’instant.
 
- Aphy, la 1ère étape consiste à reconnaître ses fautes. Je vous écoute !
 
Debout, face à moi, elle énuméra toutes les fautes dont elle s’était rendue coupable ce 
mois-ci.
  
J’énumérai donc mes « fautes » sans grande conviction
  
- Bien Aphy ! On avance ! Maintenant, la 2ème étape consiste à admettre que vous méritez 
une punition et me la réclamer ! Je vous écoute.
  
C’est sadique comme demande et humiliant… Je me demande bien ce qu'il se passerait si je 
refusais d’obtempérer. Mais, je ne vais pas jouer.
 
- Je... je mérite d’être punie pour mes fautes... Je vous demande de me corriger...
 
- Comment ?
 
- Par... par une fessée... bredouilla-t-elle, la tête baissée.
 
- Exactement ! Enlevez vos bottes et vos chaussettes, puis venez vous allonger en travers 
de mes genoux. 
 
Je me fis obéissante et pris position comme il me l’avait demandé.

Étonnamment, elle s’exécuta sans se faire prier. La main droite caressant ses fesses, je la 
sermonnai alors sur son manque de volonté, puis la fessée commença. 

Tantôt douces, tantôt fermes, les claques s’enchaînaient jusqu'au moment où je relevai 
doucement sa robe, dévoilant alors une magnifique petite culotte blanche.La fessée reprit 
alors de plus belle. Après 5 minutes de ce traitement, Aphy commença à s'agiter.

Malgré le fait que je voulais rester stoïque, montrer que je ne sentais rien, je finis par
commencer à m’agiter un peu.

- Allons, allons ! Restez tranquille Aphy ! Ce n'est que le début !
 
La fessée reprit de nouveau, pendant quelques minutes, avant de s’arrêter.
Je tirai doucement la culotte vers le haut pour dévoiler un peu plus ses fesses qui 
commençaient à rosir sous les claques. Après quelques minutes, je m’arrêtai à nouveau.
 
- Aphy, quand vous étiez petite, comment vous était donnée la fessée ?
 
- Je ne sais pas, vous allez sûrement me le dire…
 
- Je vous écoute Aphy !
  
- Déculottée ronchonnais-je
  
- Comment ? Je n'entends rien ! Plus fort ! Dis-je en claquant fortement ses fesses.
  
- Déculottée !! Criai-je
 
- Oui, une bonne fessée se donne toujours les fesses à l’air, culotte baissée !
 
Délicatement, je descendis alors sa culotte jusqu'aux chevilles... 
   
Je sentis ma culotte atteindre mes chevilles. Je ne pus m’empêcher de mettre ma main en 
protection. Après tout, je n’étais pas une enfant sans défense.

- Vous n’avez pas le droit de faire ça !!!
 
- Si ! Vous avez signé, j’ai tous les droits ! Tenez-vous tranquille !
 
Je me saisis de son bras pour le coincer dans son dos. La fessée reprit pendant 5 bonnes 
minutes. Aphy s’agitait de plus en plus. A la fin, ses fesses étaient rouges et brûlantes, ce qui ne manqua pas de la faire larmoyer. Là seulement, j'arrêtai la punition.
  
Je me retrouvais avec le bras coincé dans le dos. Non, mais brillante idée Aphy ! Si je 
t’assure, Andouille va ! Plus les minutes passaient et plus mes fesses me brûlaient, et mes 
larmes étaient à la porte. La punition s’arrêta…
  
- Avez-vous compris la leçon Aphy ?
  
Non, vous croyez ? Évidemment que j’ai compris, mais je ne vais pas vous le dire ainsi.

- J’ai compris, arrêtez s’il vous plaît.
 
Je lui caressai tendrement les fesses tout en la sermonnant à nouveau.
 
- Bien ! Levez-vous et allez au coin ! 
  
Elle se releva en massant ses fesses meurtries et doucement alla au coin, quelque peu gênée par sa culotte aux chevilles.
 
Je me relevai et massai mes pauvres fesses martyrisées. Seulement, je refusai d'aller au coin.

- Non, pas le coin, je vous en prie.
  
- Vous resterez là quelques minutes, le temps de réfléchir à vos fautes ! Non, non, bloquez 
votre robe avec vos mains. Je veux voir votre postérieur.
 
Finalement, je n’ai pas trop le choix. Je vais donc au coin avec un peu de mal.
Après 5 minutes, je m'approchai doucement de Aphy. Mes mains caressant ses fesses pour 
juger du travail accompli.
 
- Bien ! Elles commencent déjà à devenir moins rouges. Nous allons pouvoir continuer...
 
A suivre...



mercredi 29 janvier 2014

Réalité ou fiction ? A vous de choisir ;)

   Il décide de lui téléphoner alors qu'il sait qu'elle est encore au bureau. "Ce soir, en sortant du travail, tu viens directement chez moi", ordonne-t-il sans préambule. "Humm, bien sur" répond-elle discrètement alors que ses collègues écoutent... "J'ai envie de te fouetter", continue-t-il  "Euh.... oui;" dit-elle doucement; je serai là à 18h....

   Cette petite conversation fait naître un émoi évident. Elle regarde l'heure.... plus qu'une heure de travail. Le temps de ranger ses affaires, regarder ses rendez-vous du lendemain, et la voilà partie. Elle pense aux envies de son amant, aux joies équivoques, mais ô combien excitantes qui l'habitent. La soumission par la fessée.... humm ! Même si elle se demande  "avec quoi veut-il me fouetter? on n'en a jamais parlé..."

  Elle sonne, il ouvre de suite, comme s'il l'avait guettée...  Après les bisous et sourires; il dit à nouveau.... "j'ai envie de te fouetter, tu es prête ?"  Elle sent une brusque chaleur parcourir son corps et ses joues s'empourprer...mais ne répond pas, tentant de cacher son trouble.

    Il l'entraîne dans le salon, où elle voit de suite sur la table, comme mis en évidence, un martinet aux lanières menaçantes ....
 "Oh dit-elle, avec ça !" Oui, dit-il, tu va ressentir une belle chaleur, quelques petites brûlures, je vais aimer te fouetter...Courbe toi sur la table !  Il relève sa jupe et dit d'une voix brusque "mais c'est quoi cette culotte ? Tu sais qu'en ma présence, tu n'as pas le droit d'en porter!"  J'ai oublié de l'enlever en partant du travail répond-elle, pardonne moi !" "Puisque c'est comme ça, tu auras 10 coups de ceinture en fin de séance.... enlève vite ça, je te veux cul nu..." dit-il en souriant. "enlève aussi ta jupe et reprend la position, jambes écartées, mains étendues devant toi".
    Il admire un instant ses fesses blanches et frémissantes, et, sans s'émouvoir, saisit le martinet aux lanières de cuir et commence doucement à échauffer ce postérieur tendu vers lui.

    Au 20ème coup, elle retient ses cris, se met à haleter, pour tenter d'oublier la brûlure, au 30ème, elle commence à gémir, tant les cinglades lui semblent mordantes. Il n'en tient pas compte, continuant de fouetter sans faiblir.  " non non non," dit-elle à la suite..... il n'entend rien.... ne veut rien entendre....

    Au 40ème, elle ferme les jambes, il lui fait bien vite rouvrir par une cinglade plus vive. Elle tente de mettre les mains pour calmer un peu le feu, mais il l'interdit aussi, lui ordonnant de  bien vite reprendre la position.    "Es tu prête pour les 10 derniers demande t-il?  " sans bouger, sinon le coup ne compte pas ! Elle évite de répondre, elle sait bien qu'elle aura ces derniers quand même....

    Au 50ème, ses fesses sont pleines de jolies stries, toute sa peau brûlante, brûlante mais sans véritable douleur, juste un bien être qui la prend toute....comme un étourdissement... la laissant abandonnée...     Mais il dit : "maintenant les 10 coups de ceinture promis pour avoir oublié d'enlever ta culotte"....  " Oh non dit-elle, pitié, je n'oublierai plus"  "Tsss, c'est moi qui décide, je te veux par terre à 4 pattes, cul bien présenté"

    Docilement elle prend la pose, tend ses fesses, et sans lui laisser le temps de réagir davantage, il lui  assène à la volée 10 coups bien sentis ! Elle a à peine eu le temps de reprendre sa respiration, qu'il dit "voilà, tu es pardonnée".
   Merci Maître répond-elle'' timidement, j'ai mal....  Il l'aide à se relever, l'entoure de ses bras, passe ses mains sur ses fesses endolories et lui dit "c'est bien, je suis fier de toi".
    Pour mieux le remercier de ce surprenant plaisir qui l'a saisie, elle lui prend la main et lui dépose un baiser là, juste au creux de la paume. Elle est bien....



mardi 28 janvier 2014

dimanche 5 janvier 2014

Anna raconte sa première fessée


Il fut celui à qui j'osai prêter mes fesses pour enfin passer de l'autre côté du fantasme.Nous avions rendez vous chez lui, après des semaines de discussions. Une semaine avant, j'hésitais encore, je me sentais nerveuse et envieuse en même temps. Je passai un temps infini à choisir ma tenue et finis par opter pour une tenue toute simple, une jupe et un haut un peu décolleté pour peut-être le déstabiliser....
 
Une fois chez lui, après les paroles, les sourires pour détendre l'atmosphère, il s'installa sur un tabouret au milieu de la pièce, et me regarda dans les yeux, pour me dire "retourne toi, retrousse ta jupe, et baisse ta culotte"...J'ai hésité un petit moment en baissant les yeux; il poursuivit : "allez ! maintenant!"Je me suis retournée, ai soulevé ma jupe. J'avais pris soin de mettre une jolie petite culotte de dentelle noire , pour l'amadouer... en vain!
 
Il m'attrapa par le coude, me bascula très vite sur ses genoux. Me retrouvant les mains au sol.... une terrible honte m'envahit, me faisant serrer les cuisses, croiser les pieds.....
Il me laissa dans cette délicate posture quelques secondes, passant sa main douce sur mes fesses blanches, me donnant des frissons.
D'un seul coup sa main s'abattit, m'arrachant un cri, puis , alternativement, d'une fesse à l'autre, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Une douce chaleur commençait à me mordre, se diffusant jusqu'à mon bas ventre, attisant mon envie de claques encore plus fortes.
Il le comprit et un déferlement de claques suivit; 10 claques sur chaque fesses, puis 10 encore; puis..... je ne s
us plus compter, ne sachant plus si j'en voulais encore ou s'il devait arrêter.
Quand enfin, le rythme ralentit, sa main se faisant plus douce
, en des caresses plus précises, je sus que le plaisir d'être copieusement fessée irait en grandissant ; ce qu'il confirma en vérifiant l'efficacité de sa fessée.
Il me releva, et dit "hum, on recommencera" Timidement; je répondis "oui, c'est boonn!!"
Un long baiser et d'autres jeux finirent par nous apaiser."