Il décide de lui téléphoner alors qu'il sait qu'elle est encore au bureau.
"Ce soir, en sortant du travail, tu viens directement chez moi", ordonne-t-il sans préambule.
"Humm, bien sur" répond-elle discrètement alors que ses collègues écoutent...
"J'ai envie de te fouetter", continue-t-il "Euh.... oui;" dit-elle doucement; je serai là à 18h....
Cette petite conversation fait naître un émoi évident. Elle regarde l'heure.... plus qu'une heure de travail. Le temps de ranger ses affaires, regarder ses rendez-vous du lendemain, et la voilà partie. Elle pense aux envies de son amant, aux joies équivoques, mais ô combien excitantes qui l'habitent. La soumission par la fessée.... humm ! Même si elle se demande "avec quoi veut-il me fouetter? on n'en a jamais parlé..."
Elle sonne, il ouvre de suite, comme s'il l'avait guettée...
Après les bisous et sourires; il dit à nouveau.... "j'ai envie de te fouetter, tu es prête ?"
Elle sent une brusque chaleur parcourir son corps et ses joues s'empourprer...mais ne répond pas, tentant de cacher son trouble.
Il l'entraîne dans le salon, où elle voit de suite sur la table, comme mis en évidence, un martinet aux lanières menaçantes ....
"Oh dit-elle, avec ça !" Oui, dit-il, tu va ressentir une belle chaleur, quelques petites brûlures, je vais aimer te fouetter...Courbe toi sur la table !
Il relève sa jupe et dit d'une voix brusque "mais c'est quoi cette culotte ? Tu sais qu'en ma présence, tu n'as pas le droit d'en porter!"
J'ai oublié de l'enlever en partant du travail répond-elle, pardonne moi !"
"Puisque c'est comme ça, tu auras 10 coups de ceinture en fin de séance.... enlève vite ça, je te veux cul nu..." dit-il en souriant. "enlève aussi ta jupe et reprend la position, jambes écartées, mains étendues devant toi".
Il admire un instant ses fesses blanches et frémissantes, et, sans s'émouvoir, saisit le martinet aux lanières de cuir et commence doucement à échauffer ce postérieur tendu vers lui.
Au 20ème coup, elle retient ses cris, se met à haleter, pour tenter d'oublier la brûlure, au 30ème, elle commence à gémir, tant les cinglades lui semblent mordantes. Il n'en tient pas compte, continuant de fouetter sans faiblir.
" non non non," dit-elle à la suite..... il n'entend rien.... ne veut rien entendre....
Au 40ème, elle ferme les jambes, il lui fait bien vite rouvrir par une cinglade plus vive. Elle tente de mettre les mains pour calmer un peu le feu, mais il l'interdit aussi, lui ordonnant de bien vite reprendre la position.
"Es tu prête pour les 10 derniers demande t-il? " sans bouger, sinon le coup ne compte pas ! Elle évite de répondre, elle sait bien qu'elle aura ces derniers quand même....
Au 50ème, ses fesses sont pleines de jolies stries, toute sa peau brûlante, brûlante mais sans véritable douleur, juste un bien être qui la prend toute....comme un étourdissement... la laissant abandonnée...
Mais il dit : "maintenant les 10 coups de ceinture promis pour avoir oublié d'enlever ta culotte"....
" Oh non dit-elle, pitié, je n'oublierai plus"
"Tsss, c'est moi qui décide, je te veux par terre à 4 pattes, cul bien présenté"
Docilement elle prend la pose, tend ses fesses, et sans lui laisser le temps de réagir davantage, il lui assène à la volée 10 coups bien sentis ! Elle a à peine eu le temps de reprendre sa respiration, qu'il dit "voilà, tu es pardonnée".
Merci Maître répond-elle'' timidement, j'ai mal....
Il l'aide à se relever, l'entoure de ses bras, passe ses mains sur ses fesses endolories et lui dit "c'est bien, je suis fier de toi".
Pour mieux le remercier de ce surprenant plaisir qui l'a saisie, elle lui prend la main et lui dépose un baiser là, juste au creux de la paume.
Elle est bien....
la fiction fait rever, la réalité donne du plaisir; n'est ce pas?
RépondreSupprimeroh oui, bien plus que la fiction !
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