mercredi 28 octobre 2020

Une séance très poussée (histoire érotique)

 



Ça y est, nous y étions. Et dire qu’à la base, c’était mon idée. Je vous avez demandé une séance qui commencerait sur un scénario prof-élève. Et après, qu’on se laisse porter sur nos idées et envies. Enfin, surtout les vôtres. Ma seule exigence, était que l’on pousse mes limites. Que vous me « forciez » à lâcher prise. Donc, vous m’aviez demandé de m’habiller en écolière respectable.

Je vous avais obéit, en tout cas en apparence. Je portais un chemisier blanc, une jupe écossaise arrivant au dessus du genou, une paire de bas et des sandalettes noires. Par contre, la surprise se trouvait au niveau de mes sous-vêtements. Pour le moment, je suis le nez contre le mur, les mains dans le dos, en attendant votre bon vouloir. Je ne suis pas sensée bouger d’un millimètre. Mais, mes yeux ne peuvent s’empêcher de vous chercher. Décidément, le style chemise-cravate, vous va à merveille. Non, je ne dois pas laisser mon esprit dévier. Non, je ne dois pas laisser mon esprit dévier.

Le sifflement de la canne dans l’air, me ramène sur terre. Je vous sens dans mon dos et soudainement, la pression monte. C’est vous qui allez décider de qui vous voulez en face de vous. L’alpha ou la béta.

« _ Alors comme ça, non seulement, tes notes sont désastreuses, mais en plus tu te permets de répondre à tes professeurs et de te montrer irrespectueuse ! »

Wouah, ça attaque fort dis donc. Je suis sensée réagir comment moi là ? Vous demander pardon ou vous rentrer dedans.

« _ Je ne t’ai pas inscrite dans cette école privée, pour que tu continues à te comporter comme une délinquante !!

_ ….

_ Tu as perdu ta langue ? C’est bizarre, en général, tu l’as pourtant de bien pendue !!! »

Ça, c’est de la provocation ou, je ne m’y connais pas. Vous voulez la version rebelle, parfait, je vais vous l’offrir. Je laisse l’alpha couler dans mes veines et me retourne avec un sourire quasi carnassier sur le visage.

« _ Et alors ? Après tout, c’est vous qui avez décidé de me changer d’école ! Je ne vous ai absolument rien demandé moi !!!

_ Qui t’a autorisée à quitter le coin ?

_ Moi ! De toute façon, je vous avais prévenue, que cette école n’arrangerait rien. Mais comme d’habitude, vous n’en avez fait qu’à votre tête !!

_ Tu as raison, j’en ai fait qu’a ma tête. Et je vais continuer, en faisant quelque chose que j’aurais du faire depuis un moment.

_ C’est-à-dire ?

_ T’administrer la plus magistrale correction de ta vie !! »

Et avant que je n’aie le temps de dire ouf, je me suis retrouvée sous votre bras, mes fesses recevant une avalanche de claques portées. Vous me redressez et me remettez le nez contre le mur, avec les mains sur la tête.

« _ Je vais être très clair. Tu peux te rebeller, hurler, crier, pleurer, supplier, je m’arrêterai seulement quand je l’aurais décidé. Et d’ici là, tu ne pourras plus d’asseoir pendant une bonne semaine !!!

_ Ça c’est ce qu’on dit !

_ Chante rossignol, chante. Tant que tu le peux ! »

Votre main vient se coincer dans mes cheveux, me bascule la tête en arrière et une gifle tombe. Elle n’est pas forte, mais suffisante pour réveiller un peu plus l’alpha. Vous me replacez face au mur et m’ordonnez de ne pas bouger. Je vous entends voyager dans la pièce. Sortir et revenir. Puis, je vous sens à coté de moi et vous m’attrapez par l’oreille. Vous vous arrêtez devant une chaise, vous asseyez dessus et me désignez vos genoux. Je vous lance un regard noir, en me massant l’oreille. Pour toute réponse, vous me tirez par le bras et me basculez sur vos genoux. Je soupire et une claque sur ma cuisse tombe. Automatiquement, je me rebelle et pose mes mains sur mes cuisses.

« _ Retires-tes mains !

_ Non, pas les cuisses !

_ Ce n’est pas toi qui décide ! »

Vous attrapez mes mains et me les coincés dans le dos. Vous faîtes tomber une dizaine de claque sur mes cuisses et je gigote comme un cabri. Vous commencez la fessée pas trop forte, mais très vite, celle-ci monte en puissance. Mes fesses chauffent au fur et à mesure. Heureusement, ma jupe me protège toujours. Après encore deux ou trois minutes de préchauffage comme vous l’appelez, vous m’ordonnez de me relever et de retirer ma jupe. Ma réponse passe mes lèvres sans que j’y pense « non ! » . Une claque tombe sur ma cuisse et je crie en la frottant. Je retire donc ma jupe et je vois dans vos yeux, passer comme un éclair de désir. J’avoue, j’avoue, c’était le but. J’avais mis une de mes dernières acquisitions achetées sur la boutique des coquins. Un superbe ensemble de dentelles noires.

« _ Tu te fiches de moi !!!!! »

Euhh, ce n’était pas la réaction que j’attendais du tout. Il est passé où l’éclair de désir ?!! Je suis littéralement sans voix. A un tel point que, lorsque vous m’ordonnez de me mettre à genoux entre vos jambes, j’obéis comme une automate. Vous déboutonnez mon chemisier, me l’enlevez et me criez presque :

« _ Tu trouves que c’est une tenue convenable, pour une jeune fille respectable ?

_ euh….

_ Non, ce n’est pas une tenue respectable. Mais nous réglerons cela tout à l’heure. Relève-toi !! »

Je me relève et vous me rebasculez sur vos genoux. La fessée reprend à la même puissance que lorsque vous vous êtes arrêté. Mes fesses s’enflamment littéralement. La douleur devient presque intolérable. Mais vous continuez la fessée, malgré mes supplications. Au bout de cinq minutes, vous m’envoyez au coin. Moi qui déteste cela, je suis ravie d’y être. Cela permet à mes fesses de se reposer. Mais, je sais que cela n’est pas terminé. Et pourtant, malgré la douleur de mes fesses, je souhaite que cela continue, que vous gardiez la main et continuiez à faire tomber mes défenses.

Quand vous me rappelez auprès de vous, je vois la canne anglaise trônant sur la table. Oups !

Vous m’ordonnez de poser les mains sur l’assise de la chaise, le plus proche possible des montants. Puis, vous m’attachez les mains avec les colliers de bondage achetés sur ABCplaisir.com, à chacun des montants et une cheville à chaque pied de la chaise. Mes fesses vous sont clairement exposées avec un angle à 90°. Vous m’annoncez que je recevrai cinquante coups de canne. Subitement, j’ai très chaud, malgré que je ne sois pas beaucoup habillée.

« _ Tu vas compter chaque coup. Et si tu te trompes, le coup ne compte pas. C’est clair ?

_ Oui, c’est clair.

_ Bien et après, nous réglerons ton problème de tenue »

Une séance très poussée

Vous m’abaissez ma culotte et je vous sens derrière moi. Vous jouez avec mon appréhension et faites siffler la canne. Le premier coup tombe et me coupe le souffle. Mais je compte et la punition continue. J’ai les larmes aux yeux au bout du trentième coup. Cependant, vous n’avez pas augmenté la puissance des coups. Mes genoux plient quand un coup tombe sur mes cuisses, m’arrachant au passage, un cri de douleur. Je vous supplie mais vous restez sourd. Je vous déteste à cet instant, les larmes coulent et je n’en peux plus. Je hurle le numéro cinquante et m’effondre sur la chaise. Vous me redressez et je reconnais le bruit de l’appareil photo.

Je reprends doucement mes esprits. Puis vous vous placez devant moi, une paire de ciseau à la main. Je vous regarde stupéfaite. Non, vous n’allez pas oser tout de même ! En me regardant droit dans les yeux, vous découpez une bretelle, puis la seconde et avec un sourire carnassier, vous passez dans mon dos. Je sens la froideur du ciseau au niveau de ma hanche droite et je vous maudis quand j’entends le bruit de la dentelle qu’on découpe. Puis la même sensation, au niveau de ma hanche gauche. Vous déposez les lambeaux de mes sous-vêtements, devant moi. Puis, vous me libérez des colliers de bondage. Vous m’emmenez sur la terrasse et me mettez au coin, au soleil. Celui-ci me fait du bien. Même si je suis un chouïa honteuse de me retrouver ainsi sur la terrasse. Mes fesses me brûlent et j’ai la sensation d’avoir été zébrée avec une barre de feu. Mais, je serais presque bien. Malheureusement, mon semblant de paix intérieure est brisé par, ce que vous m’annoncez.

« _ Je vais terminer ta punition par une fessée en position diaper. Je te laisse le choix de l’instrument, mais un conseil, choisis-le bien ! Et tu reviens sur la terrasse »

Je me dirige donc où, sont rangés les instruments. Nom de dieu, lequel je dois choisir. En plus en position diaper. Finalement, je me décide pour la strap que nous avons trouvé sur ABCplaisir.com. Après tout, ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Je vous ramène la strap et vous validez mon choix. Vous me demandez de m’installer sur la table et vous me faîtes prendre la position. Il y aura vingt coups, que j’ai comptés intérieurement par réflexe. Les larmes coulent doucement le long de mes joues et je ne sens plus mes fesses. Mais, je suis presque totalement bien. Vous me redressez et m’embrassez en me disant que c’est terminé. Vos mains se font caresses et ma tête bascule sur votre épaule. Je prends mon courage à deux mains et vous demande :

« _ Marquez-moi, s’il vous plaît…

_ Quoi ?

_ Marquez-moi au fouet Maître, s’il vous plaît ?

_ Tu es sûre de toi ?

_ Oui, Maître. Je veux que mon corps soit marqué. S’il vous plaît !

_ Très bien. Va chercher les fouets et installe-toi.

_ Oui, Maître ! »

Je vais chercher vos martinets et fouets, je dépose tout aux bons endroits et vous attends. Vous retirez votre chemise (pourquoi la température vient de prendre 10 degrés d’un coup ?) et terminez de relier mes mains à la corde au dessus de ma tête.

Vous déposez une barre d’écartement à mes chevilles. Je ne peux plus vous échapper, je ne peux plus bouger. Vous caressez mon corps et m’embrassez avant de rajouter :

« _ Ce sont les mêmes règles que pour la fessée, je m’arrêterai seulement quand je te jugerai suffisamment marquée. Tu peux hurler, crier, supplier, cela ne m’arrêtera pas. Tu en es consciente ?

_ Oui Maître. J’en suis consciente.

_ Alors allons-y ! »

Vous commencez par m’échauffer doucement avec les martinets. Le seul endroit pour le moment où, vos coups sont portés, ce sont mes fesses. Mais, cela ne me pose pas de problème. Après tout, je suis déjà très très chaude de ce côté. Puis vous prenez les fouets. Vous commencez doucement à danser avec les fouets. Vos coups sont de plus en plus puissants. Vous rajoutez deux fouets puis encore deux. Vous venez m’embrasser et vos yeux me demandent, si je suis prête. Je vous réponds oui en hochant la tête. Vous reprenez votre danse et les fouets heurtent mon corps plus violemment, commençant à claquer. La douleur commence à se manifester réellement, mais je tiens le coup. C’est moi qui vous l’ai demandé après tout. Cependant, je vois à votre regard, que vous restez vigilant. Les coups montent en puissance et le claquement des fouets se fait de plus en plus fort. Ma peau commence à marquer et moi, j’ai de plus en plus chaud. Les larmes recommencent à couler le long de mes joues et je retiens mes cris. Malgré tout, je ne veux pas que vous vous arrêtiez. Je vois dans vos yeux cette envie. Et je vous fais non de la tête, vous faisant comprendre mon envie. Vous continuez et involontairement, un hurlement m’échappe. Vous vous rapprochez de moi et quand les six fouets me touchent dans le dos, ma tête retombe sur votre épaule. Vous porterez encore quatre coups. Chacun me marquant de six zébrures et m’arrachant un cri de douleur.

Je repose dans les bracelets. Heureusement qu’ils étaient là. Vous vous rapprochez de moi et m’embrassez. Je relève sur vous, un regard incandescent. Nous avons beau venir de vivre une séance très forte de SM et je devrais ne demander qu’une chose, me reposer, mais j’ai envie de tout autre chose. J’ai envie de vous. Là, maintenant, tout de suite !

« _ Je viens de te marquer et de te faire hurler. Pourtant, tu me lances un regard incandescent. Alors, je me demande ce que tu veux ma puce.

_ Vous ! S’il vous plaît !

_ Tu es marquée et pourtant tu es sublime. Presque bandante !

_ Maître !!! »

Votre regard s’embrase et vous disparaissez de mon champ de vision. Une claque puissante tombe sur mes fesses et m’arrache un cri de surprise et de douleur. Votre main passe dans ma chevelure et me tire la tête en arrière. Vous me chuchotez à l’oreille : « C’est moi qui décide, ne l’oublie pas ! Je vais te punir pour ton impertinence ». Votre voix est chaude malgré la froideur de votre ton. Je sens une de vos mains venir jouer avec mon intimité. Nom de dieu ! Je suis déjà suffisamment excitée comme ça. Vous n’en prenez pas garde cependant et continué de me faire monter. Je tremble de partout, mais au dernier moment, vous vous arrêtez. Je hurle ma frustration, les larmes au bord des yeux. Votre main se fait caressante et vous réapparaissez dans mon champ de vision.

« _ Je crois que la punition a été claire. TU m’appartiens, tu es MA CHOSE, mon jouet ! »

Puis, vous m’embrassez à pleine bouche. Ce baiser me laisse pantelante. Vous passez dans mon dos et vous passez votre main dans mes cheveux. Dans le même moment, vous me pénétrez d’un seul coup de reins, puissant. Vous continuez à me prendre, presque sans douceur. Comme un alpha avec sa femelle. Et pourtant, je ne changerai cet état de fait pour rien au monde. Je finis par éclater en des millions de petits morceaux, vous entraînant avec moi dans la jouissance. Puis vous vous retirez doucement de moi.

Vous m’embrassez et me laisser récupérer mes esprits. Vous revenez de la cuisine avec deux verres et mon peignoir. Vous libérez mes jambes de la barre d’écartement et je me mets à les bouger doucement. Mes articulations se rappellent à mon bon souvenir. Vous libérez doucement mes mains et me rattrapez au passage. Mon équilibre est, comment dire… douteux, après toutes ses émotions. Vous m’embrassez tendrement et votre regard, à une lueur identique au mien. Celle du plaisir et de l’amour. Vous me déposez sur la chaise ou vous aviez préparé mon peignoir. Vous me recouvrez avec et me tendez mon verre. Vous me demandez si je vais bien et je vous réponds « on ne peut mieux ! » avec un grand sourire. Je me penche vers vous et vous vole un baiser avant de soupirer de bonheur.

Nous discutons de tout et de rien pendant une petite demi-heure, puis vous me dîtes que la suite du programme, ne va pas beaucoup me plaire. Je vous regarde d’un air perplexe et vous éclatez de rire. Vous m’attrapez par la main et me conduisez à la salle de bain. Je vous regarde avec un regard de merlan frit. De l’eau, là, maintenant ? Sur ma peau martyrisée avec des petites coupures. Effectivement, je ne vais pas beaucoup aimer. Vous me retirez mon peignoir et je vois mon reflet dans le miroir. Et bien, je voulais être marquée, c’est réussi. Je ne suis pas mécontente du résultat. Il va falloir quelques jours pour que les marques de mon corps disparaissent. Et… Oh mon dieu…. Plus d’une semaine pour que mes fesses se remettent du traitement subi. Mais je suis bien. Avoir pu lâcher prise totalement, m’a fait un bien fou. Je me retourne et vous vole un baiser.

Vous m’indiquer de la main, la baignoire. Je rentre dedans et vous attrapez le pommeau de douche. Vous vérifiez la température et vous me douchez tendrement. Je sursaute quand vous me savonnez et je vous demande de me rejoindre. Nous terminons notre douche ensemble. Vous sortez de la douche avant moi et vous revenez avec ma seconde acquisition, une sublime robe en tulle et dentelle noire, d’une douceur absolument divine, que j’ai trouvée sur la boutique des coquins, avec l’ensemble de sous-vêtements. Je l’enfile doucement et elle glisse délicatement sur mon corps, mettant mes courbes en valeurs. Je sors de la salle de bain et vous rejoins dans la cuisine. Je vous resserre un verre et après que nous ayons trinqué, je vous remercie pour cette merveilleuse séance.

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