vendredi 30 octobre 2020

Fessée de confinement : Cela ne faisait pas parti du programme

 


Depuis le début du confinement, tous se passait bien entre nous. On pourrait croire que ce serait « dangereux ». Mais non, après tout un Maître ne vit pas la cravache à la main, 24 heures sur 24. En tout, cas pas le mien. Suite à une discussion avec des amis de Fessestivites, nous avons décidés d’organiser un apéro-Skype.

L’heure arrive, je connecte l’ordinateur et lance Skype. Tout est prêt. Verres servis, de quoi grignoter et l’appel arrive. Je réponds à l’appel Skype et tout se mets en place.

Les discussions commencent, on parle de tout et de rien. Du confinement, du travail de chacun et des inconvénients. Bien entendu, les taquineries fusent de tout les côtés et dans tous les sens. Le soutien fonctionne bien entre les hommes, par contre entre les filles, nous avons un peu de mal. C’est un peu du chacun pour soi, tant que cela n’implique rien de bien méchant.

Je suis d’humeur joueuse, très joueuse. Autant dire que, je n’ai pas la langue dans ma poche et que je n’hésite pas à remettre à leur place ces Messieurs, qui trouvent la blague moyennement drôle. Soumise ne veut pas dire soupe.

Je ralentis mon rythme de taquinerie car, je sens que mon Maître commence à se tendre. Je joue avec les limites et je le sais. Je vais lui chercher un pastis et un sirop pour moi. Les discussions reprennent puis, suite à un mot de travers, je donne un coup de doigt à mon Maître. Il me regarde avec un grand sourire, me demande de me relever et s’installe dans le milieu du canapé.

Euuh, il y a un bug là !!! Enfin, c’est ce que je me suis dit. Jusqu’à ce qu’il me demande de me mettre à sa droite. Je proteste pour la forme et obéît. Il me déculotte et me bascule sur ses genoux. Et voilà, comment on passe d’un apéro-skype à un apéro-spectacle. Ce n’était pas dans le planning ça !

Je proteste en disant que ce n’est pas juste, qu’il n’y a que moi qui en reçois. Mais bon, autant parler à un mur. Maître me redresse et je me rhabille. Je retrouve ma place sur le canapé et les discussions reprennent.

Au bout d’un moment, l’appel de l’estomac se fait sentir et nous décidons de couper la conversation pour manger.

En préparant la table, je me suis rendue compte que cette fessée avait été la première de ce confinement.

PS: Je publie juste pour le plaisir de partager et rien d'autre. Bon confinement et restez chez vous!

jeudi 29 octobre 2020

Une séance très poussée 2 (histoire érotique)

 Je suis restée sur le thème de l'école privée et j'ai continué. Cependant, ce récit est fictif.

 Bonne lecture! 


 

Après notre « discussion », qui m’avait coutée de grimacer à chaque fois que je m’asseyais sur ce fichu banc, j’avais essayé de ravaler mon dégout pour cette école privée. Cela avait fonctionné, un temps.

Mais être enfermée toute la sainte journée dans une salle de cours, ce n’était pas pour moi. Si les cours m’intéressaient, aucun problème. Seulement, il n’y as pas que des cours intéressants.

J’ai donc fini par « disparaître » de certains cours. La théorie de la physique quantique… qui cela intéresse ? Je ne sais pas, mais en tout cas pas moi. Au départ, je me suis fait prendre. Et puis, j’ai fini par faire ami-ami avec deux des surveillants. D’accord, d’accord, je les ai peut-être un peu dragués sur les bords. Mais juste un peu. Rien de bien méchant.

C’était juste, bien pratique. De plus, mes notes étaient redevenues plus qu’acceptables.

Jusqu’à ce que, je me fasse prendre par la directrice. Bien entendu, elle allait vous mettre au courant, elle ne pouvait pas laisser passer ça. On en était là. Et quand, j’avais vu la lettre, je me suis dit qu’une balade à cheval s’imposait.

Je me fais discrète mais j’ai à peine le temps de rentrer que, vous m’attrapez par l’oreille, m’asseyez sur la chaise et me déposez la lettre sous les yeux.

- Tu peux m’expliquer cette lettre ?

Votre voix est très calme, trop calme. Sur la lettre, il y a mes absences et le fait que, j’ai dragué les surveillants. Je pense que c’est surtout cette dernière info qui passe mal.

- Je n’arrivais pas à rester concentrée sur certains cours. Mais, mes notes n’ont pas diminués !

- Effectivement, tes notes ont même augmentées. C’est une circonstance atténuante.

- Je n’ai rien fait de mal, je vous le jure !

Et là, je ramasse une gifle en pleine figure. Je ne l’avais pas vu venir. Le calme avant la tempête comme on dit.

- Parce que draguer les surveillants, tu trouves que ce n’est rien ?!!

- Mais, je n’ai rien fait de plus que d’être gentille !

- Gentille ? Sept heures dans la semaine !!!

- Je n’ai fait que m’adapter ! Je ne supportais plus d’être enfermée dans une salle de cours !

- Parce que jouer les trainées, tu appelles ça d’adapter !!

Je suis au bord des larmes. Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Je finis par exploser.

- Oui, je passe mon temps à jouer les filles faciles. Rien de plus simple dans une école privée à la noix, dont je ne voulais pas !!

- Je crois que j’ai été trop gentil avec toi, la dernière fois ! Ce n’est pas grave, je vais faire mieux !

Vous m’attrapez par le bras et m’emmenez dans la salle de bain. Vous m’ordonnez de prendre une douche et de vous attendre. Je me douche totalement perdue. Vous revenez avec deux paires de bracelets et une cravache. Je vous regarde sans vraiment comprendre, à travers l’eau qui coule. Je coupe l’eau et quand je me penche pour sortir, vous m’arrêtez et m’ordonner de me mettre dos à vous. J’obéis et je suis obligée de poser les mains sur le mur, quand la cravache heurte v i o l e m m e n t mes fesses. Il y aura dix coups. Puissant. Portés. Et c’est d’autant plus douloureux que ma peau est mouillée. Vous m’ordonnez de sortir et de me sécher. Une fois que je suis sèche, vous déposez les bracelets à mes poignets et mes chevilles. Je dois aller vous attendre dans le salon en position 6.

Je m’installe sur le tapis vert et vous attends. Vous refermez mon collier et je me dis, que cela craint. Vous repartez et j’ignore combien de temps cela dure. Je vous sens en face de moi et je relève les yeux. Je croise votre regard, dur, presque furieux. Et pourtant, avec une lueur d’autre chose.

- Je pensais avoir été clair la dernière fois. Apparemment, je me suis trompé. Ce n’est pas grave.

- …

- Sauf que, je ne vais pas te punir tout de suite.

- Je ne comprends pas.

- Tu ne comprends pas. C’est pourtant très simple. Avant de te punir, je vais faire en sorte que tu te souviennes, à qui tu appartiens. Après tout, si ma compagne s’amuse à jouer les traînées, il n’y a pas de raison que je n’en profite pas !

- Je….

- Tais-toi ! Tu es MA chienne, MA chose ! Et, JE fais ce que JE veux de toi ! Est-ce que je me fais bien comprendre ?

- Oui, Maître.

- Bien. Malgré tout, cela n’empêche pas que je t’aime.

Vous m’embrassez v i o l e m m e n t et sortez de votre poche, une paire de pinces à seins avec chaînette. Vous insérez la chaînette dans l’anneau de mon collier. Je grimace quand vous déposez les pinces. Vous me giflez, pas trop méchamment, en me disant que vous avez été gentil. Votre main forme un poing dans mes cheveux et me f o r c e à me relever. Vous m’ordonnez de préparer l’apéro et de l’apporter sur la petite terrasse et de vous y attendre.

Vous arrivez avec le tapis vert que vous déposez sur les palettes décorées servant de table. Vous me faîtes reprendre la position 6, dos à vous et m’ordonnez de ne pas bouger. Je vous sens revenir. Vous déposez la barre d’écartement à mes jambes et m’ordonnez de poser le buste et de vous donner mes poignets. Vous les attachez à la barre et je vous suis totalement exposée.

- J’aime beaucoup la vue ! Très plaisante !

Je tire sur mes poignets et votre main s’abat sur ma cuisse, m’arrachant un cri de douleur. Votre main passe sur mon intimité. Puis, je sens un truc vibrant sur mon intimité et je geins. Vous insérez deux doigts en moi et j’étouffe le gémissement de plaisir enflant dans ma gorge. Les papillons commencent doucement à décoller dans mon ventre. Mais au moment où, mon plaisir frôler son paroxysme, vous vous arrêtez. Vous recommencez une fois, deux fois. Je finis par tirer sur les menottes et vouloir vous échapper.

- Tiens-toi tranquille !! C’est moi qui décide !

- Je vous en prie.

- Non ! Tu m’appartiens, totalement. Et JE décide !

Je tire encore plus fort. Heureusement que ce sont les bracelets et non pas les menottes, sinon je me serais ouverte les poignets à tirer. Je finis par entendre un « tu l’auras voulu » et des bruits de pas. Pendant trois minutes, il ne se passe rien. J’en profite pour récupérer un peu mes esprits. Ma respiration avait retrouvée sa régularité, quand je ravale brusquement le cri de douleur que j’ai failli pousser. Nom de dieu !! ça pique cette chose. Et quand je sens ce picotement clairement désagréable s’accentuer encore, je sais avec quoi le coup a été donné. La tawse… Cette espèce d’objet de l’enfer. Il est déjà douloureux en temps normal. Mais avec la peau ultra tendue, cela fait vraiment très mal. Vous m’administrez une dizaine de coups. Les larmes coulent toutes seules, comme des grandes. Je sens vos mains passer sur mes fesses puis, libérer mes poignets et mes chevilles.

Votre main passe dans mes cheveux et vous me faîtes me redresser. Mes articulations se rappellent à moi, quand je me redresse. Vous me mettez face à vous et m’embrassez sauvagement. Je n’y comprends décidément plus rien. Mes larmes continuent de couler doucement. Vous me dîtes qu’il est encore bien trop tôt pour pleurer et vous me conduisez sous le noyer. Vous accrochez mes mains à l’anneau et me laisser là, en m’ordonnant de ne pas bouger. Votre phrase ne me rassure mais, pas du tout ! Et quand, j’entends le claquement d’un fouet dans mon dos, je me dis que j’ai raison de ne pas être rassurée. Vous revenez fasse à moi et retirez doucement les pinces.

Directement après, un coup de fouet tombe sur mes fesses, m’arrachant un cri. Vous m’expliquez que c’est le prix du retrait doux des pinces. Puis les coups s’enchaînent, portés pas enroulés. Ils sont là pour faire mal, pour marquer, autant mon esprit que mon corps. Au début, je me bats contre cette douleur, puis je finis par rendre les armes. Quand vous enroulés vos coups, toujours avec force, je vois que ce sont les corails que vous avez choisi. A la douleur, j’aurai du les reconnaître. Je suis en nage et tout mon corps est zébré de rouge. Les coups tombent encore et encore, sans me laisser le moindre répit, sans la chaleur de votre corps contre le mien. Je me sens seule, il n’y a plus aucun contact entre nous, pas même votre voix. Je donnerais tout pour l’entendre, même si c’est pour me faire gronder. Mais rien. Juste un silence insoutenable. Le bruit des fouets qui claquent contre ma peau. Puis, plus rien. Je suis pantelante et en sueur. Vous libérez mes mains de l’anneau et m’ordonnez d’aller me doucher, sans un regard ou un geste tendre. Et je craque, je fonds en larme et pars en courant dans la salle de bains.

Je retire les quatre bracelets et allume l’eau de la douche. Je m’assois dans la baignoire, entoure mes jambes de mes bras, et laisse mes larmes couler au fil de l’eau. Cette douche est autant douloureuse que bienfaisante. J’en ressors je ne sais combien de temps après. J’enfile une robe légère et ressort sur la terrasse. Je m’arrête à l’entrée de celle-ci et vous voit de dos. J’ai l’impression qu’un mur nous sépare, épais, glacial, insurmontable et je me pétrifie. Qu’avez-vous donc cru que j’avais fait ? Vous avez véritablement pensée que j’avais pu me comporter comme une traînée ?

Plus ces pensées me traversent et plus je grelotte, malgré les quasi 30° de température. Votre voix m’ordonne de venir auprès de vous. Mais j’en suis incapable. Si c’est ce que vous pensez de moi, c’est que vous me connaissez bien mal. Vous vous relevez en me hurlant que, j’ai suffisamment fait de bêtises et qu’il serait bien que je m’arrête. Mon regard croise le vôtre, rempli de colère et de déception. Celui-ci brise mon immobilisme et le reste de mon âme. Je ne souhaite plus qu’une chose, fuir. Mais j’ai à peine le temps de me retourner pour partir, que votre main se resserre autour de mon bras et m’attire à vous. Je m’effondre au sol et s’ouvre avec les vannes de mes larmes, la douleur de mon cœur

_ Comment avez-vous pu croire ne serait-ce qu’une seule seconde, que j’avais pu faire quoique ce soit avec quelqu’un d’autre ? Vous me connaissez donc si mal ? Vous croyez que, quand je vous dis que je vous aime et que je suis votre compagne, ce sont des mots en l’air ? Que je ne les pense pas. Qu’ils n’ont strictement aucune valeur à mes yeux ! ! ! Que….

_ Tais-toi

_ Non ! Je n’ai aucune raison de me taire, c’est la vérité et vous …

Une gifle vient interrompre mon flot de parole et vous reprenez

_ Et je le sais, oui. Mais ce que je sais aussi, c’est que tu es la plupart du temps, inconsciente du charisme que tu peux dégager !

Je vous regarde sans voix. Je sais que je suis capable de dégager quelque chose. Une fois de temps en temps, dans notre monde. Mais rien de bien méchant.

Vous me faîtes me relever et m’entraînez vers le canapé. Mes larmes se tarissent au fur et à mesure, que je suis dans vos bras. Puis, elles repartent de plus belle et je m’excuse de mon comportement et de ce que j’ai fait et/ou dis. Vous me pardonnez et m’embrassez tendrement. Au bout d’un moment, vous décidez qu’il est temps que nous mangions. Nous rentrons et passons une soirée tranquille et une nuit, pleine de câlins et d’amour.

mercredi 28 octobre 2020

Une séance très poussée (histoire érotique)

 



Ça y est, nous y étions. Et dire qu’à la base, c’était mon idée. Je vous avez demandé une séance qui commencerait sur un scénario prof-élève. Et après, qu’on se laisse porter sur nos idées et envies. Enfin, surtout les vôtres. Ma seule exigence, était que l’on pousse mes limites. Que vous me « forciez » à lâcher prise. Donc, vous m’aviez demandé de m’habiller en écolière respectable.

Je vous avais obéit, en tout cas en apparence. Je portais un chemisier blanc, une jupe écossaise arrivant au dessus du genou, une paire de bas et des sandalettes noires. Par contre, la surprise se trouvait au niveau de mes sous-vêtements. Pour le moment, je suis le nez contre le mur, les mains dans le dos, en attendant votre bon vouloir. Je ne suis pas sensée bouger d’un millimètre. Mais, mes yeux ne peuvent s’empêcher de vous chercher. Décidément, le style chemise-cravate, vous va à merveille. Non, je ne dois pas laisser mon esprit dévier. Non, je ne dois pas laisser mon esprit dévier.

Le sifflement de la canne dans l’air, me ramène sur terre. Je vous sens dans mon dos et soudainement, la pression monte. C’est vous qui allez décider de qui vous voulez en face de vous. L’alpha ou la béta.

« _ Alors comme ça, non seulement, tes notes sont désastreuses, mais en plus tu te permets de répondre à tes professeurs et de te montrer irrespectueuse ! »

Wouah, ça attaque fort dis donc. Je suis sensée réagir comment moi là ? Vous demander pardon ou vous rentrer dedans.

« _ Je ne t’ai pas inscrite dans cette école privée, pour que tu continues à te comporter comme une délinquante !!

_ ….

_ Tu as perdu ta langue ? C’est bizarre, en général, tu l’as pourtant de bien pendue !!! »

Ça, c’est de la provocation ou, je ne m’y connais pas. Vous voulez la version rebelle, parfait, je vais vous l’offrir. Je laisse l’alpha couler dans mes veines et me retourne avec un sourire quasi carnassier sur le visage.

« _ Et alors ? Après tout, c’est vous qui avez décidé de me changer d’école ! Je ne vous ai absolument rien demandé moi !!!

_ Qui t’a autorisée à quitter le coin ?

_ Moi ! De toute façon, je vous avais prévenue, que cette école n’arrangerait rien. Mais comme d’habitude, vous n’en avez fait qu’à votre tête !!

_ Tu as raison, j’en ai fait qu’a ma tête. Et je vais continuer, en faisant quelque chose que j’aurais du faire depuis un moment.

_ C’est-à-dire ?

_ T’administrer la plus magistrale correction de ta vie !! »

Et avant que je n’aie le temps de dire ouf, je me suis retrouvée sous votre bras, mes fesses recevant une avalanche de claques portées. Vous me redressez et me remettez le nez contre le mur, avec les mains sur la tête.

« _ Je vais être très clair. Tu peux te rebeller, hurler, crier, pleurer, supplier, je m’arrêterai seulement quand je l’aurais décidé. Et d’ici là, tu ne pourras plus d’asseoir pendant une bonne semaine !!!

_ Ça c’est ce qu’on dit !

_ Chante rossignol, chante. Tant que tu le peux ! »

Votre main vient se coincer dans mes cheveux, me bascule la tête en arrière et une gifle tombe. Elle n’est pas forte, mais suffisante pour réveiller un peu plus l’alpha. Vous me replacez face au mur et m’ordonnez de ne pas bouger. Je vous entends voyager dans la pièce. Sortir et revenir. Puis, je vous sens à coté de moi et vous m’attrapez par l’oreille. Vous vous arrêtez devant une chaise, vous asseyez dessus et me désignez vos genoux. Je vous lance un regard noir, en me massant l’oreille. Pour toute réponse, vous me tirez par le bras et me basculez sur vos genoux. Je soupire et une claque sur ma cuisse tombe. Automatiquement, je me rebelle et pose mes mains sur mes cuisses.

« _ Retires-tes mains !

_ Non, pas les cuisses !

_ Ce n’est pas toi qui décide ! »

Vous attrapez mes mains et me les coincés dans le dos. Vous faîtes tomber une dizaine de claque sur mes cuisses et je gigote comme un cabri. Vous commencez la fessée pas trop forte, mais très vite, celle-ci monte en puissance. Mes fesses chauffent au fur et à mesure. Heureusement, ma jupe me protège toujours. Après encore deux ou trois minutes de préchauffage comme vous l’appelez, vous m’ordonnez de me relever et de retirer ma jupe. Ma réponse passe mes lèvres sans que j’y pense « non ! » . Une claque tombe sur ma cuisse et je crie en la frottant. Je retire donc ma jupe et je vois dans vos yeux, passer comme un éclair de désir. J’avoue, j’avoue, c’était le but. J’avais mis une de mes dernières acquisitions achetées sur la boutique des coquins. Un superbe ensemble de dentelles noires.

« _ Tu te fiches de moi !!!!! »

Euhh, ce n’était pas la réaction que j’attendais du tout. Il est passé où l’éclair de désir ?!! Je suis littéralement sans voix. A un tel point que, lorsque vous m’ordonnez de me mettre à genoux entre vos jambes, j’obéis comme une automate. Vous déboutonnez mon chemisier, me l’enlevez et me criez presque :

« _ Tu trouves que c’est une tenue convenable, pour une jeune fille respectable ?

_ euh….

_ Non, ce n’est pas une tenue respectable. Mais nous réglerons cela tout à l’heure. Relève-toi !! »

Je me relève et vous me rebasculez sur vos genoux. La fessée reprend à la même puissance que lorsque vous vous êtes arrêté. Mes fesses s’enflamment littéralement. La douleur devient presque intolérable. Mais vous continuez la fessée, malgré mes supplications. Au bout de cinq minutes, vous m’envoyez au coin. Moi qui déteste cela, je suis ravie d’y être. Cela permet à mes fesses de se reposer. Mais, je sais que cela n’est pas terminé. Et pourtant, malgré la douleur de mes fesses, je souhaite que cela continue, que vous gardiez la main et continuiez à faire tomber mes défenses.

Quand vous me rappelez auprès de vous, je vois la canne anglaise trônant sur la table. Oups !

Vous m’ordonnez de poser les mains sur l’assise de la chaise, le plus proche possible des montants. Puis, vous m’attachez les mains avec les colliers de bondage achetés sur ABCplaisir.com, à chacun des montants et une cheville à chaque pied de la chaise. Mes fesses vous sont clairement exposées avec un angle à 90°. Vous m’annoncez que je recevrai cinquante coups de canne. Subitement, j’ai très chaud, malgré que je ne sois pas beaucoup habillée.

« _ Tu vas compter chaque coup. Et si tu te trompes, le coup ne compte pas. C’est clair ?

_ Oui, c’est clair.

_ Bien et après, nous réglerons ton problème de tenue »

Une séance très poussée

Vous m’abaissez ma culotte et je vous sens derrière moi. Vous jouez avec mon appréhension et faites siffler la canne. Le premier coup tombe et me coupe le souffle. Mais je compte et la punition continue. J’ai les larmes aux yeux au bout du trentième coup. Cependant, vous n’avez pas augmenté la puissance des coups. Mes genoux plient quand un coup tombe sur mes cuisses, m’arrachant au passage, un cri de douleur. Je vous supplie mais vous restez sourd. Je vous déteste à cet instant, les larmes coulent et je n’en peux plus. Je hurle le numéro cinquante et m’effondre sur la chaise. Vous me redressez et je reconnais le bruit de l’appareil photo.

Je reprends doucement mes esprits. Puis vous vous placez devant moi, une paire de ciseau à la main. Je vous regarde stupéfaite. Non, vous n’allez pas oser tout de même ! En me regardant droit dans les yeux, vous découpez une bretelle, puis la seconde et avec un sourire carnassier, vous passez dans mon dos. Je sens la froideur du ciseau au niveau de ma hanche droite et je vous maudis quand j’entends le bruit de la dentelle qu’on découpe. Puis la même sensation, au niveau de ma hanche gauche. Vous déposez les lambeaux de mes sous-vêtements, devant moi. Puis, vous me libérez des colliers de bondage. Vous m’emmenez sur la terrasse et me mettez au coin, au soleil. Celui-ci me fait du bien. Même si je suis un chouïa honteuse de me retrouver ainsi sur la terrasse. Mes fesses me brûlent et j’ai la sensation d’avoir été zébrée avec une barre de feu. Mais, je serais presque bien. Malheureusement, mon semblant de paix intérieure est brisé par, ce que vous m’annoncez.

« _ Je vais terminer ta punition par une fessée en position diaper. Je te laisse le choix de l’instrument, mais un conseil, choisis-le bien ! Et tu reviens sur la terrasse »

Je me dirige donc où, sont rangés les instruments. Nom de dieu, lequel je dois choisir. En plus en position diaper. Finalement, je me décide pour la strap que nous avons trouvé sur ABCplaisir.com. Après tout, ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Je vous ramène la strap et vous validez mon choix. Vous me demandez de m’installer sur la table et vous me faîtes prendre la position. Il y aura vingt coups, que j’ai comptés intérieurement par réflexe. Les larmes coulent doucement le long de mes joues et je ne sens plus mes fesses. Mais, je suis presque totalement bien. Vous me redressez et m’embrassez en me disant que c’est terminé. Vos mains se font caresses et ma tête bascule sur votre épaule. Je prends mon courage à deux mains et vous demande :

« _ Marquez-moi, s’il vous plaît…

_ Quoi ?

_ Marquez-moi au fouet Maître, s’il vous plaît ?

_ Tu es sûre de toi ?

_ Oui, Maître. Je veux que mon corps soit marqué. S’il vous plaît !

_ Très bien. Va chercher les fouets et installe-toi.

_ Oui, Maître ! »

Je vais chercher vos martinets et fouets, je dépose tout aux bons endroits et vous attends. Vous retirez votre chemise (pourquoi la température vient de prendre 10 degrés d’un coup ?) et terminez de relier mes mains à la corde au dessus de ma tête.

Vous déposez une barre d’écartement à mes chevilles. Je ne peux plus vous échapper, je ne peux plus bouger. Vous caressez mon corps et m’embrassez avant de rajouter :

« _ Ce sont les mêmes règles que pour la fessée, je m’arrêterai seulement quand je te jugerai suffisamment marquée. Tu peux hurler, crier, supplier, cela ne m’arrêtera pas. Tu en es consciente ?

_ Oui Maître. J’en suis consciente.

_ Alors allons-y ! »

Vous commencez par m’échauffer doucement avec les martinets. Le seul endroit pour le moment où, vos coups sont portés, ce sont mes fesses. Mais, cela ne me pose pas de problème. Après tout, je suis déjà très très chaude de ce côté. Puis vous prenez les fouets. Vous commencez doucement à danser avec les fouets. Vos coups sont de plus en plus puissants. Vous rajoutez deux fouets puis encore deux. Vous venez m’embrasser et vos yeux me demandent, si je suis prête. Je vous réponds oui en hochant la tête. Vous reprenez votre danse et les fouets heurtent mon corps plus violemment, commençant à claquer. La douleur commence à se manifester réellement, mais je tiens le coup. C’est moi qui vous l’ai demandé après tout. Cependant, je vois à votre regard, que vous restez vigilant. Les coups montent en puissance et le claquement des fouets se fait de plus en plus fort. Ma peau commence à marquer et moi, j’ai de plus en plus chaud. Les larmes recommencent à couler le long de mes joues et je retiens mes cris. Malgré tout, je ne veux pas que vous vous arrêtiez. Je vois dans vos yeux cette envie. Et je vous fais non de la tête, vous faisant comprendre mon envie. Vous continuez et involontairement, un hurlement m’échappe. Vous vous rapprochez de moi et quand les six fouets me touchent dans le dos, ma tête retombe sur votre épaule. Vous porterez encore quatre coups. Chacun me marquant de six zébrures et m’arrachant un cri de douleur.

Je repose dans les bracelets. Heureusement qu’ils étaient là. Vous vous rapprochez de moi et m’embrassez. Je relève sur vous, un regard incandescent. Nous avons beau venir de vivre une séance très forte de SM et je devrais ne demander qu’une chose, me reposer, mais j’ai envie de tout autre chose. J’ai envie de vous. Là, maintenant, tout de suite !

« _ Je viens de te marquer et de te faire hurler. Pourtant, tu me lances un regard incandescent. Alors, je me demande ce que tu veux ma puce.

_ Vous ! S’il vous plaît !

_ Tu es marquée et pourtant tu es sublime. Presque bandante !

_ Maître !!! »

Votre regard s’embrase et vous disparaissez de mon champ de vision. Une claque puissante tombe sur mes fesses et m’arrache un cri de surprise et de douleur. Votre main passe dans ma chevelure et me tire la tête en arrière. Vous me chuchotez à l’oreille : « C’est moi qui décide, ne l’oublie pas ! Je vais te punir pour ton impertinence ». Votre voix est chaude malgré la froideur de votre ton. Je sens une de vos mains venir jouer avec mon intimité. Nom de dieu ! Je suis déjà suffisamment excitée comme ça. Vous n’en prenez pas garde cependant et continué de me faire monter. Je tremble de partout, mais au dernier moment, vous vous arrêtez. Je hurle ma frustration, les larmes au bord des yeux. Votre main se fait caressante et vous réapparaissez dans mon champ de vision.

« _ Je crois que la punition a été claire. TU m’appartiens, tu es MA CHOSE, mon jouet ! »

Puis, vous m’embrassez à pleine bouche. Ce baiser me laisse pantelante. Vous passez dans mon dos et vous passez votre main dans mes cheveux. Dans le même moment, vous me pénétrez d’un seul coup de reins, puissant. Vous continuez à me prendre, presque sans douceur. Comme un alpha avec sa femelle. Et pourtant, je ne changerai cet état de fait pour rien au monde. Je finis par éclater en des millions de petits morceaux, vous entraînant avec moi dans la jouissance. Puis vous vous retirez doucement de moi.

Vous m’embrassez et me laisser récupérer mes esprits. Vous revenez de la cuisine avec deux verres et mon peignoir. Vous libérez mes jambes de la barre d’écartement et je me mets à les bouger doucement. Mes articulations se rappellent à mon bon souvenir. Vous libérez doucement mes mains et me rattrapez au passage. Mon équilibre est, comment dire… douteux, après toutes ses émotions. Vous m’embrassez tendrement et votre regard, à une lueur identique au mien. Celle du plaisir et de l’amour. Vous me déposez sur la chaise ou vous aviez préparé mon peignoir. Vous me recouvrez avec et me tendez mon verre. Vous me demandez si je vais bien et je vous réponds « on ne peut mieux ! » avec un grand sourire. Je me penche vers vous et vous vole un baiser avant de soupirer de bonheur.

Nous discutons de tout et de rien pendant une petite demi-heure, puis vous me dîtes que la suite du programme, ne va pas beaucoup me plaire. Je vous regarde d’un air perplexe et vous éclatez de rire. Vous m’attrapez par la main et me conduisez à la salle de bain. Je vous regarde avec un regard de merlan frit. De l’eau, là, maintenant ? Sur ma peau martyrisée avec des petites coupures. Effectivement, je ne vais pas beaucoup aimer. Vous me retirez mon peignoir et je vois mon reflet dans le miroir. Et bien, je voulais être marquée, c’est réussi. Je ne suis pas mécontente du résultat. Il va falloir quelques jours pour que les marques de mon corps disparaissent. Et… Oh mon dieu…. Plus d’une semaine pour que mes fesses se remettent du traitement subi. Mais je suis bien. Avoir pu lâcher prise totalement, m’a fait un bien fou. Je me retourne et vous vole un baiser.

Vous m’indiquer de la main, la baignoire. Je rentre dedans et vous attrapez le pommeau de douche. Vous vérifiez la température et vous me douchez tendrement. Je sursaute quand vous me savonnez et je vous demande de me rejoindre. Nous terminons notre douche ensemble. Vous sortez de la douche avant moi et vous revenez avec ma seconde acquisition, une sublime robe en tulle et dentelle noire, d’une douceur absolument divine, que j’ai trouvée sur la boutique des coquins, avec l’ensemble de sous-vêtements. Je l’enfile doucement et elle glisse délicatement sur mon corps, mettant mes courbes en valeurs. Je sors de la salle de bain et vous rejoins dans la cuisine. Je vous resserre un verre et après que nous ayons trinqué, je vous remercie pour cette merveilleuse séance.

mardi 27 octobre 2020

Le flogger

 Le flogger

 
Quel nom étrange me dirait-vous. Effectivement, c'est un nom peu commun. Le flogger est un instrument à fessée, que j'ai découvert en fouinant sur internet. Outre le fait, que nous n'avions pas cet instrument dans notre collection jouets,  son design et son manche en bois sculpté m'ont beaucoup plus! Du coup, il est tombé par inadvertance dans le panier! 😇😇

Voilà à quoi il ressemble : 

Évidemment, vu qu'il était tombé dans le panier, il a finit par arriver à la maison. Du coup, Monsieur a décidé, qu'il fallait le tester. Et voici la petite histoire, qui résulte de ce test : 

 

En farfouillant sur le net, je suis tombée sur, comme de par hasard, un instrument à fesser. Pour moi, il était inconnu au bataillon, dieu sait que notre collection est loin d’être petite. C’est l’inconvénient de gérer une boutique, on finit par avoir plus d’instrument que prévu.

A son arrivée, le flogger correspond parfaitement à l’image. Son bois est superbe et le cuir de qualité. Vu que, nous n’allions pas le tester sur le Maître (quoique, ça devrait parfois ! ;)), je joue le rôle de testeuse. Je me penche donc sur le meuble, les jambes à 90 degrés. Maître me déculotte et commence par un petit échauffement à la main. Je trépigne au départ, le temps que ma peau s’habitue à nouveau, à ce contact un peu « musclé ».

Puis, il prend en main le flogger. Son manche permet une bonne prise. Le premier coup, me fait sursauter. Plus de surprise que de douleur. Il continue la fessée avec, pendant cinq bonnes minutes. La douleur est très supportable, le flogger entretient la chaleur de mon fessier, sans pour autant être agressif. Afin de pousser le test, Maître me dit qu’il va monter en puissance et me demande si je suis prête. On n’est jamais prête, mais je réponds oui. L’impact se fait plus puissant mais rien qui risque de blesser. Avec beaucoup d’élan, il fait vraiment mal.

Notre avis (qui n'est que le nôtre):

Dans un cadre non punitif, c’est un instrument parfait pour une fessée soft, plaisir, ou en échauffement après la main. Dans un cadre punitif, il peut être efficace, à condition de lui donner de l’élan.

Pour nous, il fait partit des instruments parfait pour les débutants ou les personnes pratiquant la fessée soft.

Et voilà, pour l'arrivée du dernier de nos instruments, parfait pour un échauffement, avant de passer aux choses "sérieuses"

Voici la photo du résultat


Retour après quelques années d'absences

 Bonjour à tous et à toutes!!

Me revoilà après quelques années d'absences.

Les choses ont évoluées et j'ai moi-même suivi mon petit chemin de vie. Et les voyages hauts en couleurs ont suivis également, mais dans un monde bien plus vaste. Bien que, la fessée reste mon amour de jeunesse, je me suis laissée tenter au BDSM. Je découvre ce monde tout les jours dans sa diversité.

Vous trouverez donc au fil des articles, les choses que j'ai testé, aimés ou pas. Les différents accessoires également que j'ai découvert et parfois eu la folie d'offrir! rire

 Alors pour les nouveaux comme pour les anciens, bienvenue dans mon monde de voyages "très "haut en couleurs!